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La cyber-collabos Amira Yahyaoui au service de cheikha Moza


9 Mars 2017

Inconnue jusqu’en janvier 2011, ce pur produit de facebook et de certaines « ONG » occidentales, qui ont déstabilisé la Tunisie pour la livrer aux Frères musulmans, se permet aujourd’hui d’insulter ceux qui l’ont fait connaitre en Tunisie et ailleurs, à savoir la « Facebookratie ». Drôle de manière de remercier ses fans et ex moutons, parce qu’ils ont osé dénoncer son attrait pour la célébrité…et pour l’argent.


A gauche, Moza Bint Nasser Al-Missned, à droite Amira Bint Yahyaoui Al-Ghomrassen.
A gauche, Moza Bint Nasser Al-Missned, à droite Amira Bint Yahyaoui Al-Ghomrassen.
Jusqu’en janvier 2011, elle n’a jamais scribouillé le moindre mot contre le régime, jamais signé le moindre tract, jamais participé à la moindre manifestation anti-Ben Ali en Tunisie ou en France, où elle poursuivait tranquillement ses études payées par son richissime papa. Tout son fond de commerce était au début la légende de son cousin cyber-islamiste, un certain Zouhair Yahyaoui, puis à une autre légende, son propre père Mokhtar Yahyaoui, le fameux juge qui a osé « dénoncer la corruption de la justice sous la présidence de Ben Ali ».

Une pure légende en effet, car le juge « intègre » était en fait un magistrat corrompu, comme la plupart de ses collègues. Il était propriétaire entre autre d’un petit hôtel à Tunis et d’un terrain agricole de 12 hectares, dans la région de l’Ariana, qu’il avait racheté à une dame française à un prix insignifiant et dans des conditions illégales. L’acte de vente ayant été dénoncé, Mokhtar Yahyaoui finit par perdre son procès, malgré son statut de puissant juge. Le 3 avril 2000, statuant par défaut à l’égard du juge, la cour d’appel donne raison au demandeur et ordonne l’éviction du puissant juge. Voilà comment, de juge au service de la justice de Ben Ali, Mokhtar Yahyaoui est devenu « le combattant pour l’indépendance de la justice » et le pourfendeur de la corruption !
     
Ce n’est pas la propagande du régime qui raconte tout cela, mais un rapport de Marina Coppieters Wallant, magistrate et vice-présidente du tribunal de première instance de Bruxelles, à la suite de deux missions à Tunis, la effectuées du 1er au 3 août 2001, et la seconde du 28 au 30 décembre 2001. Mon collègue Nebil Ben Yahmed reviendra prochainement sur cette sombre affaire en publiant des extraits de ce rapport belge, qui a été d’ailleurs établi à la gloire de Mokhtar Yahyaoui, mais dans lequel on apprend incidemment des vérités édifiantes.  

Aujourd’hui, il s’agit plutôt de sa fille, qui a aussi un sens aigu des affaires, toujours dans le commerce des droits de l’homme et de la liberté d’expression ! Fondatrice de l’association Al-Bawsala, l’œil de Washington à l’Assemblée nationale tunisienne au moment de la fameuse constituante, Amira Yahyaoui fait partie aujourd’hui du conseil d'Administration de Silatech, fondée par la richissime et détestable cheikha Moza.

Attaquée sur les réseaux sociaux, y compris par ses anciens moutons, l’arrogante femme d’affaire a réagi comme il se doit dans un statut sur sa page facebook, le 5 mars dernier : « Je suis en effet membre du board de Silatech, décision que j'ai prise il y a quelques mois et dont je suis convaincue. J'ai beaucoup hésité, comme pour beaucoup de choses, du jugement de la facebookratie et pour être très honnête avec vous, j'ai juste décidé de m'en "foutre". Vraiment. Désolée de le dire de manière aussi crue. Mais c'est ce qui décrit le mieux ma position ».

La suite de son statut ridicule est un hommage à sa propre gloire. On y apprend que Amira Yahyaoui n’a pas accepté de travailler pour cheikha Moza en vue de se faire de l’argent, mais presque par sacrifice et dévouement à la jeunesse tunisienne ! « On parle ici de réels millions de dollars qui sont donnés pour ces milliers de tunisiens », tente de faire croire la jeune femme affairiste en prenant les jeunes pour les imbéciles qu’ils furent en janvier 2011. Peine perdue, la jeunesse a compris ! Ils ont compris que leur ancienne icône artificielle est passée du droit-de-l'hommisme au droit des affaires !!!

Lilia Ben Rejeb    

Photo de famille avec la mercenaire des droit de l'homme et l'oligarchie islamo-mafieuse du Qatar.
Photo de famille avec la mercenaire des droit de l'homme et l'oligarchie islamo-mafieuse du Qatar.


           


1.Posté par Faouzi MAHBOULI le 10/03/2017 04:12 (depuis mobile)
Je suis surpris par vos révélations concernant le père, et je vais vérifier leur authenticité .
Pour ce qui est du reste, cette usurpatrice arrogante dont j'' avais révèle son imposture à la solde de la CIA par un article qui l'' avait rendue furieuse

2.Posté par BHN le 11/03/2017 01:18
C'est curieux, cette "droitdelhommiste" (et pas seulement elle) n'évoque jamais l'état des droits de l'homme au Qatar, ou tout est scélorosé, bailloné et bafoué.
Après le coup d'état de la CIA du 14 janvier 2011 la plupart de nos concitoyens étaient pris sous le coup de l'hystérie du "printemps" de la CIA et du Mossad, mais, en effet, de l'eau, que dis je, du sang à coulé sous les ponts et la plupart des gens ont compris cette vaste fumisterie qu'est ce "printemps" qui n'est en réalité qu'un plan de destabilisation et de démebrement du monde arabe.
Cette "droitdelhommiste" de pacotille ferait donc mieux de saisir cette nouvelle donnée et qu'elle cesse, elle est ses marionnetistes, tels la bananière Mouza...de prendre la jeunesse tunisienne pour des imbéciles !

3.Posté par BHN le 11/03/2017 01:18
C'est curieux, cette "droitdelhommiste" (et pas seulement elle) n'évoque jamais l'état des droits de l'homme au Qatar, ou tout est scélorosé, bailloné et bafoué.
Après le coup d'état de la CIA du 14 janvier 2011 la plupart de nos concitoyens étaient pris sous le coup de l'hystérie du "printemps" de la CIA et du Mossad, mais, en effet, de l'eau, que dis je, du sang à coulé sous les ponts et la plupart des gens ont compris cette vaste fumisterie qu'est ce "printemps" qui n'est en réalité qu'un plan de destabilisation et de démebrement du monde arabe.
Cette "droitdelhommiste" de pacotille ferait donc mieux de saisir cette nouvelle donnée et qu'elle cesse, elle est ses marionnetistes, tels la bananière Mouza...de prendre la jeunesse tunisienne pour des imbéciles !

4.Posté par sofiane le 11/03/2017 11:40
l'histoire s'accélère ,cheikha Moza souhaiterais contrôler des vastes réserves sur les territoires arabes et tunisiens!!déja que notre territoire est devenu le centre névralgique du terrorisme international,nos dirigeants sont devenu des marionnettes totalement soumise,seul la résistance arabe venu des terres du Sham nous apportera la délivrance!!soyez en sûr!!!le regard que porte nos dirigeants sur la Syrie est amnésique!!le retour du boomrang sera terrible!!!

5.Posté par Léon le 06/04/2017 23:36
S'il existe une seule histoire d'amour entre un fruit et un peuple, c'est bien l'histoire du tunisien avec la banane. La passion du peuple tunisien pour la banane, a-t-elle muté en une passion pour la Cheikha du même nom? Peut-être! En tous les cas, la Cheikha Banana aime les révolutionnaires qui lui ont offert la demeure que Ben Ali.
Pour revenir à la vraie banane, qu'est-ce qui explique cette passion entre le peuple et ce fruit? En effet, depuis ma plus tendre enfance, tout se mesurait chez les tunisiens en termes de bananes. Sans rentrer dans les considérations grossières de notre bon peuple, je m'arrêterai seulement au parallèle entre l'état économique du pays et la présence de la bananes chez les primates de la géopolitique que sont mes chers compatriotes qui ont vendu leur pays aux exportateurs de de démocratie qataris (sic!).
Que de fois je n'a-t-on pas entendu dire que les enfants nés sous la période Mzali n'ont jamais vu une banane (quel malédiction!!!!) tellement les importations étaient faibles et l'état économique du pays indépendant qu'était la Tunisie, était mauvais. Que de fois n'a-t-on pas aussi entendu dire que sous Nouira on mangeait même des bananes et que ces derniers arrivaient par bateaux entiers.
La banane est le vrai baromètre de l'économie du peuple "bananier" que sont nos chers compatriotes.
D'ailleurs les gouvernements merdolutionnaires successifs ont eu, entre autres soucis, d'assurer que le pays ne rentre jamais en rupture de stock de bananes et que les prix ne flambent pas trop, afin de ne pas alerter l'opinion publique bananière du réel état économique du pays.
Même s'il n'a pas atteint le prix de 900 millimes le kg (atteint sous Ben Ali), la banane restait quand même à la portée des ménages moyens à environ quatre dinars le kg. Ils peuvent s'offrir des bananes de temps à autres; bananes financées par les emprunts de la banque mondiale, du FMI, et bien sûr..., de la cheikha Mooza et du pays qui lui appartient (et non pas l'inverse). L'essentiel c'est que la banane soit là. C'est rassurant! C'est bon pour le moral des primates.
Ironie du sort, le peuple bananier en appelle aujourd'hui au secours de la Cheikha Banana! Quoi de plus naturel! Pour la banana Mooza, ils ont déjà vendu leur vertu. Et la banana ne s'est pas empêchée de s'y introduire, jusqu'à en violer la maison de leur roi et se l'approprier. Bientôt elle achètera leurs propres maisons, mais ce n'est pas si grave. L'essentiel c'est qu'ils mangent de la banane! Après tout, le peuple sans vertu (intellectuels en tête), n'a-t-il pas vendu son pays un 14 maudit de l'an 2011.
D'ailleurs en bon bananier, issu du peuple bananier, je vais vous prouver que l'on peut aussi estimer la dignité du tunisien en terme de bananes. En effet, je puis affirmer d'emblée que le la "dignité" recouvrée le 14 janvier par le tunisien coûte 3 dinar le kg. En effet, le tunisien mangeait "sans dignité" de la banane à un dinar le kg. Aujourd'hui, il a tout le loisir de la consommer, en toute "dignité", à 4 dinars le kg. Cela fait (4-1)=3 dinars le kg de "dignité".
Et dire que de ce "un dinar le kg", tout le monde trouvait son compte: le consommateur, le vendeur, les intermédiaires. Et parait-il, et encore d'après « radio-gueux », cette manne humanitaire bananière était contrôlée par les trabelsi. Si, l’on compte en plus le prix de revient de la banane et le fait que cette même banane n'était ni "compensée" ni « politisée", je tire mon chapeau aux trabelsi pour leur efficacité dans la gestion. Faire bouffer de la banane à un dinar le kg en faisant travailler autant de gens! Qu’attend-on pour virer tous les ministres de la Tunisie post-merdolutionnaire et les mettre à leurs places?
Est-ce de la baraka pure ou de la réussite de ceux qui s'occupaient de la banane chez nous? Peut-être un peu des deux.
Voilà donc, à l’aimable attention du bon peuple de la « banane », une leçon d’économie basée sur le vrai baromètre économique populaire, à savoir « la banane ».
Le jour où je serai président (c’est à dire à la Saint Glinglin. C’est bientôt, n’est-ce pas?), je vous promet un secrétariat d’état à la banane au sein du prestigieux ministère du commerce. Ou peut-être même un ministère de la banane. Et pourquoi ne pas en faire un ministère régalien ouvrant les portes à la présidence de la république et financé par la Cheikha Mooza qui en sera la ministre honoris causa (le titre de docteur étant inapproprié à une personne qui ne sait pas ce que c’est, et ne saura certainement pas en estimer la juste valeur).
Il aura fallu attendre que le 2ème Bey de la révolution (si El Béji) prenne les rênes du pays pour que l'on tombe si bas. Le premier Bey de la révolution (Si Foued) n'était pas mieux. Ironie de l'histoire: on appelle toujours les Beys pour signer les futures catastrophes souverainistes.
Ahhh mon pauvre pays, ce que l'on ne t'aura pas fait! Par les mains des tiens. Par quel miracle changera-t-on un jour la donne?
Quand à la demoiselle, objet de la photo qui accompagne la Mooza, je n'ai aucune envie de parler de ceux qui, par les ONG atlantistes, ont trahi leur pays et rempli leurs poches au prix des larmes de populations entières.
Et dire qu'ils font la morale aux autres. Cachez-vous, chère demoiselle! Et ayez un peu de pudeur! Ceux qui vous avaient appuyé hier vous lâcheront demain et dans avenir très proche, comme il est de leurs usages et coutumes politiques. Ce jour-là, vous ne trouverez de retraite que dans le pays que vous avez ruiné.
À l’instar du fameux slogan de Chirac « mangez des pommes », je dirai aux tunisiens: « mangez des bananes » mais je préciserai « et faites-en bon usage ».

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant Souverainiste.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

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