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Mise en garde des Etats-Unis au Qatar


1 Octobre 2013

L’émir de substitution, Tamim, continue dans la politique islamo-terroriste de son père destitué, et a priori, cela commence à exacerber l’administration américaine. En sacrifiant ses deux valets, Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim, Obama, qui voulait sauver sa peau face à un Sénat qui l’accuse de soutenir le terrorisme islamiste, avait pourtant signifié à Tamim sa nouvelle feuille de route : désengagement total du conflit syrien au profit de l’Arabie Saoudite, neutralité dans les processus « démocratiques » en Tunisie, en Egypte et en Libye, suspension de toute aide aux islamistes et tout particulièrement aux djihadistes. Mais il est dans la nature du bédouin de ne pas comprendre l’ordre de son maître du premier coup. En bon Frère musulman, Tamim, qui était déjà très impliqué dans la déstabilisation de la Tunisie et dans l’invasion de la Libye, a continué la même politique criminelle de son père, mais de façon plus discrète. C’en est trop pour Obama, qui vient d’adresser au Qatar une sévère mise en garde.


Mise en garde des Etats-Unis au Qatar
Par son « printemps arabe », Barak Hussein Obama voulait effacer les dégâts de la politique de son prédécesseur, George W.Bush. C’est-à-dire le sentiment profondément anti-américain que la guerre contre l’Irak et l’Afghanistan a crée dans la conscience islamique. Le stratagème a bien fonctionné les premiers mois qui ont suivi la chute des régimes autoritaires arabes. Obama était alors à son zénith et l’Amérique, plus populaire qu’elle ne l’a jamais été. Mais plus maintenant. Les peuples arabes regrettent l’époque Bush et accusent Obama de tous les péchés d’Israël. Et pour cause, les Américains sont accusés d’avoir « volé » aux peuples du « printemps arabe » leur « révolution » et de leur avoir imposé l’islamisme. A quelques rares exceptions, tous les pays occidentaux ont cru que l’islamisme était populaire dans le monde arabe, qu’il n’y avait aucune alternative aux régimes autoritaires, que par conséquent, c’est cette idéologie néo-fasciste, présentée comme « islamisme modéré », qu’il fallait soutenir. Mais la surprise et le démenti cinglant sont venus d’Egypte. Pas tant parce que le général Abdelfattah Al-Sissi a osé, que parce que la majorité écrasante du peuple égyptien a accueilli cette son action comme une seconde « révolution », comme une véritable libération du cauchemar islamo-fasciste. Le grand quotidien Al-Ahram titrait alors : « Les Tunisiens nous ont exporté une révolution falsifiée, nous leur renvoyons une révolution authentique » !
 
Comme nous l’avons écrit en juin dernier, le réveil nationaliste égyptien a été la conséquence immédiate ou l’effet secondaire du limogeage des deux Hamad au Qatar. Mais il y a eu auparavant le nettoyage du Mali des islamo-fascistes que soutenait et finançait l’émir et son vizir, comme tous les mouvements islamo-terroristes sévissant en Afrique, y compris les Shebab qui viennent de perpétrer un carnage au Kenya. En se débarrassant des deux Hamad, Obama a voulu écarter deux témoins gênants de sa politique pro-islamiste. Certains anciens diplomates et militaires l’ont également convaincu que l’alliance entre Al-Qaïda et Al-Qatar est avérée et que c’est une bombe à retardement qui peut nuire à l’image de la « première démocratie » du monde, ainsi qu’à ses intérêts vitaux. Mais l’émir de substitution, Tamim, ne semble pas avoir compris l’avertissement américain. Un mois après son arrivée au pouvoir, il a recommencé à armer Jabhat Al-Nosra et Al-Qaïda en Syrie, et sa chaine de propagande, Al-Jazeera a continué sa désinformation sur les événements en Egypte et en Syrie.
 
D’où la sévère mise en garde qu’un proche collaborateur d’Obama, de confession musulmane, vient d’adresser à Tamim, chez lui, à Doha. Selon un journaliste koweitien, l’émissaire d’Obama au Qatar s’est adressé à l’émir comme un maitre s’dresse à son chien. Déjà en août dernier, Jeremy Shapiro, Directeur  adjoint du Center of the United States and Europe (CUSE) de l’Institut Brookings, et ancien conseiller de l’ex-ministre des Affaires Etrangères américaines, avait publié un article au vitriol contre l’émirat. Dans cet article publié dans le Foreign Policy (FP) du 28 août 2013, Jeremy Shapiro écrit : « En Libye, les efforts américains pour soutenir la formation d’un gouvernement de transition libyen modéré et capable de gouverner efficacement la Libye ont été constamment contrecarrés et minés par une politique qatarie indépendante…Cela n’a pas été meilleur en Syrie. Le  Qatar a émergé après 2011, sans doute le soutien extérieur le plus important de l’opposition syrienne au régime Assad. Le Qatar a dépensé, selon les rapports de presse, plus de 3 milliards de dollars pour l’aide à l’opposition… Comme en Libye, les Qataris ont utilisé leur influence pour contrecarrer les efforts des États-Unis et d’autres pour promouvoir l’unité au sein de l’opposition syrienne qui est la condition préalable à une solution négociée à la guerre… ».
 
Selon Jeremy Shapiro, le Qatar n’est ni un pays ami ni un pays ennemi. Mais sa politique va de plus en plus à l’encontre des intérêts américains. Et comme pour disculper le chef de la Maison Blanche, il indique que le Qatar a pris l’initiative de soutenir les Frères musulmans en Egypte, en Libye et en Tunisie, et qu’elle soutient les plus extrémistes en Syrie et en Irak. Il a ajouté que l’on « s’attendait à ce que la nouvelle direction politique du Qatar change d’attitude, comme semble le faire la Turquie ».   
 
Alors que faire ? Jeremy Shapiro propose cinq mesures à prendre à l’encontre du Qatar. Il pense qu’il faut pousser l’Arabie Saoudite à assumer son rôle de leader dans la pacification de la situation syrienne. Il propose de jouer sur le vieux différent entre le Qatar et l’Arabie Saoudite, qui devrait accueillir l’opposition qatarie et la laisser s’exprimer à la télévision Al-Arabiya. Et puis s’il le fallait, fermer la base d’al- Udeïd. Il propose aussi de dénoncer les conditions des travailleurs étrangers au Qatar, de mener une campagne médiatique afin que l’organisation de la coupe mondiale de 2022. Cette dernière recommandation semble déjà en exécution puisque la presse américaine, britannique et française vient de découvrir subitement que le Qatar maltraite ses ouvriers immigrés !

Le changement de politique américaine à l’égard de l’islamisme semble être plus stratégique que tactique. L’acceptation du plan russe dans la résolution du conflit syrien, la reprise du dialogue diplomatique avec l’Iran, la stabilisation de leurs relations avec l’Egypte sont autant d’indices qui montrent que l’administration américaine n’est plus sous l’influence de la secte des Frères musulmans en général et du Qatar en particulier. C’est à la lumière de ce changement qu’il faut lire les dernières « pressions » de Jacob Walles sur le chef des Frères musulmans en Tunisie, Rached Ghannouchi ! Selon le Middle East Online, une source diplomatique américaine a déclaré que l’administration américaine a averti Ennahda d’un possible scénario à l’égyptienne, si les Frères musulmans tunisiens n’acceptent pas la feuille de route du qartet que la première puissance « capitaliste » a inspiré au « prolétariat » de l’UGTT !  TunisieSecret

Karim Zmerli    

 
 


           


1.Posté par brahim haddou le 01/10/2013 14:57
Les services de renseignements algériens et leurs homologues russes seraient à l’origine du revirement américain dans le soutien aux dirigeants islamistes du Qatar et de l’Egypte ainsi que dans les pays qui ont connu des événements du printemps arabe.

En effet, le président des Etats-Unis, Barack Obama avait décidé de se débarrasser des deux responsables qataris, Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim, en mai dernier eu égard aux documents très compromettants pour lui, que les services russes –avec l’aide des services algériens- ont fait parvenir à quelques Sénateurs américains et à des journalistes du Washington Post et du New York Times.

Selon Tunisie-Secret qui révèle ces informations ce lundi sur son site web, l’affaire devait être étouffée n’eut été la détermination du Sénateur James Inhofe, qui avait réussi à convaincre un grand nombre de ses collègues républicains.

Les convaincre que cette foi-ci, la procédure de destitution (impeachment) contre Obama doit aller jusqu’au bout, compte tenu des faits qui lui sont reprochés et sur lesquels il va devoir s’expliquer devant le Sénat.

L’attaque d’Al-Qaïda contre l’ambassade US à Benghazi

Dès le début du mois de mai dernier, James Inhofe avait persuadé bon nombre de ses collègues Sénateurs d’entamer une procédure d’Impeachment contre Obama, accusé d’avoir dissimulé aux américains la vérité sur l’attaque contre l’ambassade des Etats-Unis à Benghazi, lors de laquelle l’ambassadeur Chris Stevens a été violé et exécuté.

La tentative de dissimuler certaines vérités sur l’attaque de Benghazi par la Maison Blanche est qualifié de “mensonge d’Etat le plus flagrant de l’histoire américaine”.

Mais l’initiative des sénateurs visant à destituer le président a tourné en “comité spécial d’enquête du Sénat” sur l’affaire Benghazi et plus exactement sur le rapport de la CIA qui a été retouché par l’administration Obama, dissimulant ainsi des vérités que l’opinion publique américaines devait connaitre. Le rôle du Sénateur de l’Arizona John McCain a été déterminant dans cette tournure des événements.

Toujours selon la même source, les douze versions du rapport de la CIA obtenues par le journaliste Jonathan Karl de la Chaine ABC prouvent bien que les termes “terrorisme”et “Al-Qaïda” ont été volontairement supprimés de la version initiale, et que la version finale du rapport s’est évertuée à présenter l’attaque de l’ambassade américaine à Benghazi comme l’action spontanée de quelques “têtes fêlées”, offensées par une vidéo parodiant le prophète Mohamed, et non une attaque terroriste planifiée par Al-Qaïda, qui voulait commémorer l’anniversaire de l’agression terroriste sur les Tours Jumelles de New York. Ces révélations sont en contradiction directe avec la version relayée par Jay Carney, le porte-parole de la Maison Blanche.

D’ailleurs un mémorandum fuité le 2 mai 2013 et obtenu par Jonathan Karl cite la porte-parole du Département d’Etat Victoria Nuland, demandant à ses collaborateurs d’éviter de mentionner que la CIA avait prévenu le Département d’Etat d’une éventuelle attaque terroriste à l’anniversaire du 11 septembre, dans la mesure où cela pourrait apporter de l’eau au moulin des Républicains pour leurs critiques de la politique internationale d’Obama.

Le refus de Barack Obama, pendant plus de deux semaines, de qualifier l’agression de Benghazi “d’attaque terroriste” a conduit plusieurs observateurs à supputer que la demande de Victoria Nuland d’éviter de parler de terrorisme remonte à Obama en personne.

Ces révélations ont amené le député de Floride, Ted Yoho, a déposer une proposition de loi le 26 juin dernier, pour interdire à toute agence ou institution américaine, l’allocation de fonds en vue de fournir une assistance militaire aux forces dites d’opposition en Syrie.

S’exprimant devant la Commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, Yoho a réitéré ce qu’il avait dit à l’origine : “Quiconque pense qu’armer l’opposition rebelle en Syrie est une bonne idée devrait apprendre les leçons du passé. Les mêmes politiques ont créé des monstres en Irak, Afghanistan et ailleurs dans le monde. L’opposition syrienne est un mélange de groupes comme les Frères musulmans de Syrie et autres organisations qui ont fait allégeance à Al Qaïda”.

Al-Qaïda, une succursale des services qataris

Les relations entre Al-Qaïda et le Qatar remontent à des années. Outre le soutien financier à cette organisation terroriste apporté par des hommes d’affaires qataris proches de Hamad Ben Jassim, ainsi que par des associations dites caritatives, Al-Jazeera est devenue le principal relai médiatique de “cheikh Ben Laden”, comme l’appellent les présentateurs de cette chaîne islamo-terroriste.

Tous les services occidentaux étaient au courant de cette collaboration étroite entre l’oligarchie mafieuse et l’organisation terroriste…jusqu’au jour où cette relation est devenue trop flagrante pour pouvoir continuer.

En dépit du fait qu’Obama avait encore besoin des services d’Al-Qaïda en Syrie, en Irak et au Maghreb, ainsi que des très précieuses relations entre cette ” ONG ” de Ben Laden et Qatar Charity, le président américain a saisi la gravité de l’affaire en se débarrassant rapidement de ses deux complices et valets devenus trop encombrants : Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim.

Sans toutefois prévenir François Hollande, ce qui aurait évité à celui-ci de se rendre à Doha 24h avant l’éviction officielle des deux Hamad.

Obama a changé les deux têtes du pouvoir au Qatar pour que le président de la première démocratie du monde ne soit pas accusé à son tour de soutien au terrorisme, notamment celui d’Al-Qaïda, supposée être l’ennemi numéro1 des Etats-Unis et du monde entier.

Barack Obama savait très bien que Hamad Ben Khalifa et Hamad Ben Jassim finançaient les Frères musulmans, Al-Qaïda et d’autres groupes terroristes, mais tant que cela servait les intérêts stratégiques de l’Empire, il a laissé faire ses valets.

Si cette collaboration étroite entre le Qatar et Al-Qaïda était encore floue en Tunisie, au moment des événements de janvier 2011, elle est devenue parfaitement claire en Libye, ensuite en Syrie. C’est d’ailleurs pour cette raison que les Français ont décidé de faire le grand nettoyage au Mali.

Les premières mesures prises par cheikh Tamim prouvent a posteriori les raisons pour lesquelles son père a été éjecté : expulsion immédiate de Khaled Mechaal et d’autres dirigeants du Hamas qui vivaient à Doha après avoir longtemps profité de la générosité syrienne, fermeture de la représentation “diplomatique” des Talibans à Doha, humiliation et expulsion de Youssef Qaradaoui, neutralité apparente dans les affaires intérieures égyptiennes…

La surprise égyptienne

Mais, dans la précipitation, Obama n’a pas réalisé que le changement à la tête de l’oligarchie qatarie pouvait avoir un impact immédiat sur l’Egypte.

Cela s’appelle en stratégie et en géopolitique un effet d’agrégation ou un effet secondaire. Les officiers libres de l’armée égyptienne ont profité de cette brèche pour déposer, le 3 juillet, Mohamed Morsi, d’autant plus qu’ils étaient certains du soutien d’une grande majorité du peuple égyptien, totalement édifiée sur la “morale”, la “compétence” et le “patriotisme” des Frères musulmans au pouvoir grâce au soutien financier et médiatique du Qatar et à l’appui diplomatique des Etats-Unis.

Pour le général Abdefattah Al-Sissi, c’était en réalité une course contre la montre: juste après son premier communiqué du 26 juin, les Frères musulmans avaient pris la décision de l’arrêter et de dissoudre le haut conseil militaire.

Face à cette situation qui était totalement imprévisible et à ce fait accompli, Obama avait d’abord parlé d’une “seconde révolution “, et non point de coup d’Etat.

Dans un second temps, ne sachant plus sur quel pied danser, il a déclaré que “les lois des Etats-Unis n’autorisent pas de soutenir financièrement un pays victime de coup d’Etat”, allusion à l’aide annuelle (1 milliard et demi de dollars) que l’Amérique accorde à l’armée égyptienne depuis des années.

Depuis la semaine dernière, la position américaine s’est stabilisée autour d’une solution médiane : on prend acte du changement en Egypte, mais il faut libérer Mohamed Morsi et s’abstenir de persécuter les Frères musulmans.

Ce n’est pas le sort de Mohamed Morsi qui inquiète l’administration américaine, mais tous les engagements secrets de ce président vis-à-vis d’Israël et des Etats-Unis.

L’engagement (écrit) le plus scandaleux, qui a provoqué la colère et l’indignation des égyptiens, est le renoncement de l’Egypte à 40% des territoires du Sinaï au profit des réfugiés Palestiniens.

L’affaire ne serait pas grave s’il s’agissait d’un acte de générosité islamiste à l’égard du peuple palestinien. Mais en réalité, il s’agissait d’une “promesse de vente” dans laquelle les Frères musulmans ont touché 8 milliard de dollars du Trésor américain.

Le document attestant cette opération “immobilière”a été envoyé par le général Al-Sissi au Sénat américain. Ce document porte la signature de Mohamed Morsi, de Mohamed Badi, le chef suprême des Frères musulmans, et de Khairat al-Chater, Frère musulman et l’une des plus grosses fortunes du pays.

Comme l’a avoué Abdallah Al-Achaal, l’ancien numéro2 des Affaires étrangères égyptiennes dans le gouvernement Morsi, cette transaction arrangeait Obama, Israël, les Frères musulmans et le Hamas.

C’est cette affaire, qui est entre les mains des Sénateurs républicains américains, qui inquiète beaucoup Barack Obama, d’autant plus que ces Sénateurs réclament le remboursement illico des 8 milliards de dollars.

Le président américain pourrait toujours invoquer la raison d’Etat et sa volonté de “résoudre” définitivement le conflit israélo-palestinien, en offrant au Hamas –et non pas à l’autorité légitime palestinienne- un territoire qui appartient à l’Egypte, la fameuse solution de la “patrie de substitution”. Il pourrait aussi mobiliser le lobby sioniste pour le défendre, mais il ne peut rien pour sauver la tête de Mohamed Morsi qui pourrait être jugé et exécuté pour Haute Trahison.

Interrogé avant-hier devant le Sénat, Obama a avoué que son gouvernement a dépensé 25 milliards de dollars, “avant et après la révolution égyptienne, pour que les Frères musulmans prennent le pouvoir. Notamment dans les élections législatives et présidentielles”.

Obama a ajouté : ” Nous avons également soutenu les salafistes, mais moins que les Frères musulmans, qui étaient si désireux d’arriver au pouvoir qu’ils nous ont proposé de travailler pour nos intérêts et ceux d’Israël”.

En réponse à l’une des questions, il a indiqué que”les relations des Frères musulmans étaient très forte avec le Hamas et les mouvements extrémistes dans le Sinaï. Ils ont ainsi fait baisser les attaques contre Israël. Mohamed Morsi nous a été très rapidement d’un grand service dans la crise en Syrie lorsqu’il a rompu ses relations avec ce pays et qu’il a encourage les Egyptiens à faire le djihad contre la Syrie”.
Les services de renseignements algériens et russes ont poussé Obama à lâcher les islamistes
Lorsque le Sénateur lui a dit que cette politique s’avère être un échec puisque le pouvoir des Frères musulmans s’est écroulé et sur quelles données il s’est basé pour prendre de tels risques, Obama a répondu qu’il s’est fondé sur des rapports de renseignement et sur les analyses de Madame Patterson (ambassadeur des USA en Egypte), qui nous a convaincu que l’Egypte était définitivement sous le pouvoir des Frères musulmans
http://www.algerie1.com/actualite/les-services-de-renseignements-algeriens-et-russes-ont-pousse-obama-a-lacher-les-islamistes/

2.Posté par Souverainiste le 01/10/2013 22:09
Marre de cette racaille au pouvoir et de l'opposition de pacotille qui discute avec eux comme si ils allaient obtenir quelque chose . La Syrie et l'Égypte ont des hommes , la Tunisie n'a personne , que des passifs et des égoïstes .

3.Posté par fethia le 12/10/2013 22:02
Les négociateurs tunisiens avec les islamistes exécutent à la lettre ce que jacob walles leur a ordonné de faire c'est de ne pas exclure ces gens des négociations et qu'il faut faire avec , c'est ce qui fait traîner les choses en longueur jusqu'à ce que les tunisiens vomissent tout le monde y compris l'ugtt , car c'est l'organe puissant qui peut faire bouger les choses et obliger ces malades à quitter le pouvoir. Je vois l'ugtt dans le rôle de négociateur neutralisée , ceci donne aux nahdhaouis de bloquer ou de traîner pour gagner le plus de temps. Ils nous rendent malades, ils nous étouffent, ils nous étranglent.ON A BESOIN D'AIR ET D’OXYGÈNE.

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