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Tunisie: Et si le sauveur n’était pas le sergent Rachid Ammar mais le Général Ben Ali ?


11 Mai 2013

Une tribune de Salem Ben Ammar qui brise certains tabous pseudo-révolutionnaires et regarde le « film hollywoodien » de la révolution du jasmin avec les yeux d’un intellectuel qui s’aperçoit que la démocratie n’était qu’un songe et la révolution, qu’un beau rêve qui a tourné au cauchemar. Au fur et à mesure que la Tunisie s’enfonce dans la crise et plonge dans la décadence wahhabite, des voix s’élèvent pour dénoncer l’une des plus grandes supercheries du siècle, comme il le dit.


Tunisie: Et si le sauveur n’était pas le sergent Rachid Ammar mais le Général Ben Ali ?
La révolution du jasmin, de son nom de code, a-t-elle livrée tous ses secrets ? Rien ne permet de l'affirmer avec précision dans la mesure où ses acteurs principaux, ceux auxquels on a fait endosser les habits de voyous vaincus par le Shérif, en l'occurrence le peuple tunisien, sont privés de parole, ou noyés dans un flot continu de parole dont il est difficile de démêler le vrai du faux.  
                                               
Il est de règle dans le droit pénal que tout prévenu a le droit de garder le silence, pour que ses propos ne soient pas retenus contre lui. Ce qui revient à dire aussi qu'il a le droit de le rompre pour témoigner contre ses propres intérêts, pour que la vérité éclate et que justice soit faite.                                                                                                                                 
Le fait de réduire au silence ceux à qui ont a fait jouer le rôle des méchants, présentés comme  la cause de tous les tourments du bon peuple, diabolisés comme rarement dans l'histoire de la Tunisie, calomniés et jetés en pâture à la vindicte populaire, est la preuve que les Tunisiens ont été victimes d’une conspiration magistralement orchestrée. N'est-ce pas là un aveu explicite de la part  de ceux-là mêmes qui ont été les premiers à décréter la fin du film un certain 14 janvier 2011 ?
                                                             
N'est-ce pas le réalisateur lui-même, le dénommé Barak Hussein Obama qui a effectué  le clap de fin du tournage du thriller qui a duré 4 semaines après 3 ou 4 années de travaux de repérage et de balisage du terrain : Revolution's day in Tunisia, alors que Ben Ali le personnage-clé de ce film hollywoodien en  grandeur nature, qui ignorait tout ou presque de cette trame, était encore présent sur la scène ?                                                                                                                                                                  
Ce clap de fin n'est-il pas en soi une preuve irréfutable et évidente quant à la vraie nature rocambolesque, vaudevillesque, hollywoodienne et mélo-dramatique (effusion de sang et larmes), avec un épilogue heureux où le « peuple » a vaincu le « dictateur » et le bien a triomphé du mal ? Mais de quel mal et de quel bien s'agit-il a posteriori et au regard des événements engendrés par l’une des plus grandes supercheries politiques de tous les temps, à l’instar du renversement de Mossadegh en Iran, de Salvador Allende au Chili, de Nicolas Ceausescu en Roumanie ou de Saddam Hussein en Irak ?
 
Le scénariste a beau avoir usé de ses ficelles habituelles et mystificatrices, il s'est pris les pieds dans le tapis en voulant doter d'attributs glorieux et héroïques, le général « mexicain » Rachid Amar, homme de paille, un personnage terne et insignifiant, un acteur de seconde zone, un second couteau décrit comme étant l'homme qui a épargné à son peuple le bain de sang au péril de sa vie. De l’aveu même du cyber-collabo qui a fait de ce traitre un héro, à savoir Yassine Ayari, le général Ammar n’a jamais dit non à Ben Ali.                                                                                                      
Comme il ne peut y avoir de « révolution » sans visage et sans légende glorieuse, il fallait bien lui en créer un et lui en tisser une. La propagande qatari s’est occupée du reste en faisant de ce général un chef charismatique, un leader patriotique, un résistant de la trempe de Jean Moulin ou du Général de Gaulle. De l'ombre, il s'est trouvé propulsé sous les feux des projecteurs. Ainsi, le sauveur est né, histoire de procurer un sentiment de fierté nationale au petit peuple et de flatter son ego en le mettant sur le même piédestal des grands peuples révolutionnaires de la planète : le peuple français, le peuple russe ou le peuple chinois.
 
La machine de la star system a fonctionné à merveille. Le metteur en scène a fait jouer aux Tunisiens leur propre rôle comme dans dans une série de télé-réalité, reléguant les vrais acteurs au rang de spectateurs interdits de se rendre à l'arène sportive comme des vulgaires hooligans. A croire que le scénariste a peur qu'ils ne viennent perturber le bon déroulement de son jeu de cirque. Comme s'ils voulaient immuniser le public, devenu acteur, contre le « virus » de vérité dont il est porteur et qu'il mette à mal toute sa stratégie de communication autour de l'épopée révolutionnaire tunisienne.  
 
Craignant certainement qu'ils fassent tomber le voile sur le mensonge révolutionnaire, sur cette véritable supercherie qui entache la victoire du « bon peuple » sur « le méchant despote ». Alors que tout indique, depuis le fameux jour du 14 janvier 2011, juste à l'heure où le destin de la Tunisie a été scellé, que le crépuscule du peuple était en parfaite synchronie avec le déclin brutal de son président. Comme si tous les deux entretenaient une relation fusionnelle et en coupant le cordon ombilical qui les reliait, on a déclenchait leur mise à mort respective.
 
En éloignant Ben Ali de la scène politique, et en faisant de lui un hôte de marque malgré lui, chez ceux-là-mêmes qui sont les contributeurs financiers de la production hollywoodienne du film révolutionnaire tunisien, les scénaristes ont voulu enfouir sous une chape de plomb le principal acteur et témoin de ce film. La belle historiette, ce bestiaire hagiographique de Saint-Obama ne doit pas livrer ses secrets de la bouche même du personnage-clé de la tragédie tunisienne.                                                                                                                                         
Comme si les jeux sont faits, et qu’on ne peut récrire à rebours le scénario sordide et morbide de ce film révolutionnaire, notamment le dernier épisode relatant les conditions dans lesquelles se sont réellement déroulés les événements qui ont précipité ou plutôt motivés le départ de Ben Ali, un départ digne des romans de Georges Simenon. Et si le vrai héros de ce roman n'était pas celui qu'on croyait (Rachid Ammar), et que le vrai patriote n'était pas Ben Ali lui-même ?  
 
Moi-même, j'avais mordu à l'hameçon du « général qui a dit non à Ben Ali » ; comme si j'étais envoûté par l'ivresse du parfum de jasmin, jusqu'au jour où j'ai été interpellé par le jeu de cartes libyen auquel se livrait les pays de l'O.T.A.N. avec des partenaires wahhabites et terroristes, dont j'avais analysé la stratégie destructrice dans mon article sur la wahhabisation du monde arabo-musulman.
                                                                    
Je dois avouer que peu de Tunisiens ont fait preuve de perspicacité intellectuelle et de courage politique, en dehors de deux patriotes dont l'un souhaite garder l'anonymat et l’autre, Mezri Haddad, est suffisamment connu pour que j’en taise l’identité. Seul et contre tous, ce philosophe doué d’un sens politique exceptionnel a eu l’audace de dénoncer cette supercherie et d’alerter ses compatriotes. Mais, comme nul n’est prophète dans son propre pays, il a suscité un tollé général faisant de lui l'ennemi public n°1.                                     
 
Le mythe du sauveur ne résiste pas à l'examen des faits deux ans après la « révolution du jasmin ». On réalise alors combien ce Rachid Ammar a été un simple agent d'exécution aux ordres des forces néocoloniales et impérialistes : les USA et le Qatar. Un homme qui soi-disant aurait évité à la Tunisie un fantasmagorique bain de sang brille curieusement par sa passivité et son absence troublante d'enrayer l'effusion de sang de ses propres soldats à Djebal Chaâmbi, de jeunes soldats qui défendent leur patrie contre les terroristes imperialo-wahhabites.
                                          
Il est à douter que cet homme eût épargné quoi que ce soit aux Tunisiens et que tout donne à croire aujourd'hui qu'il était un des rouages essentiels du complot fomenté contre la Tunisie et le monde arabe en général. Son « patriotisme », après le putsch du 14 janvier 2011, consistant à mettre le commandement de l'armée tunisienne sous la haute autorité du Qatar en dit long sur son courage, son dévouement, la haute opinion qu'il se fait de sa fonction. Il n'a été qu'un collaborateur, un milicien, un petit Pétain tunisien, un substitut pour voler la vedette à celui qui a probablement accompli le vrai sursaut patriotique en proposant à son peuple un bon plan de sortie de crise, à savoir le général Ben Ali. Mais c’était déjà trop tard.
 
Dois-je sacrifier ma liberté pour sauver mon peuple, choisir l’exil pour éviter aux Tunisiens la guerre civile ? Seul Ben Ali pourrait répondre à cette question, si ses tombeurs Américains et ses geôliers Saoudiens lui laissent la liberté de le faire.Tunisie-Secret.com

Salem Ben Ammar 

 
 


           

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1.Posté par Samir le 11/05/2013 21:30
Si ce n'es le général sariati qui a poussé ben Ali vers la sortie avec la ruse ce dernier ne serait jamais parti est ça d'après ses propre propos à traver son avocat et le livre ma vérité de sa femme et d'autre témoignage de Mohsen rhim le Chef de protocole de Zaba alors rendons à césar ce qui est à césar le général sariati à fait son devoir correctement en vers ça mission de protéger le peuple sans toute fois trahir

2.Posté par alwaji le 11/05/2013 22:02
c'est exactement ce qui s'est passé. Il a fallu deux années pour que l'on s'en aperçoive. Ben ali aurait dû faire un geste supplémentaire qui aurait peut être sauvé la situation: divorcer de la femme la plus détestée de tunisie. Leila trabelsi lui a porté malheur et à nous aussi.

3.Posté par khemais FRINI le 11/05/2013 23:43
Si cette analyse est vraie eh bien qu'attend BEN ALI pour se rendre aux autorités Tunisiennes Mais bien sûr avec auparavant une déclaration publique fracassante

4.Posté par Sariati Samir le 11/05/2013 23:52
pourquoi ne voulons pas voir la réalité en face concernantt le rôle du général sariati qui si ce n'etait pas lui qui a poussé ben ali vers la sortie avec la ruse ce dernier ne serait jamais parti et ça d’après ses propres propos a travers son avocat et le livre ma vérité de sa femme et d'autres témoignages comme celui de mohsen rhim chef de protocole de Zaba alors rendons a césar ce qui est a césar le général sariati à fait son devoir correctement en vers sa mission de protéger le peuple sans toute fois trahir.

5.Posté par Abdelwahab Kaddour le 11/05/2013 23:52
Il n'y avait pas un sauveur, il y avait une équipe 'de sauvetage' encore cachée

6.Posté par Nour Bmansour le 11/05/2013 23:53
Rien de nouveau dans ce chronique, tout ce qui a été écrit, l'avait dit mille fois Mezri Haddad dans ses analyses.

7.Posté par Marc Houssin le 11/05/2013 23:54
Vous voulez un maître? Vous l'aurez! Mais vous ne vous épargnerez pas la terreur...

8.Posté par Lotfi Hannachi le 11/05/2013 23:55
Vrai et angoissant de vérité a lire avec des lunettes de citoyen a la page et averti

9.Posté par bennasr le 12/05/2013 01:24
Le silence inspire le respect, mais qu'on est bavard, et qu'on n'a pas fait son service national militaire; on ne ressent pas la valeur de cette vertu qui est le silence, cette qualité du militaire. On Tunisie, c'est l'anarchie qui règne, tout est insultable, critiquable, aucun sens de la mesure et du retenu. Il n'a pas de chance l'auteur, car les généraux et les sergents tunisiens ne vont pas lui répondre, ils ont d'autres chats à fouetter.
Qu'elle message veut faire passer l'auteur? que seul De gaule peut être général, que les militaires tunisiens sont des vauriens? qu'elle seraient la portée et l'utilité de ces informations en ce moment?
Puisque l'auteur est connaisseur en cinéma mais un peu moins sur la valeur du sergent, je le conseille de revoir ou lire sur : le Secret de tournage sur Sergent York
Alvin C. York fut le soldat Américain le plus décoré de la Première Guerre Mondiale. On lui doit notamment l'exploit d'avoir tué à lui seul 17 soldats allemands au cours d'une même opération, et capturé plus d'une centaine d'autres, alors que sa patrouille s'était fait décimée par les tirs allemands. Honneur suprême, il reçut même la médaille d'honneur du congrès, la plus haute distinction faite par le gouvernement américain à un civil ou un militaire.
Autre mise au point, celui qui a hissé le premier drapeau des alliés sur le mont Cassino après de rudes batailles, était un sergent tunisien: ...Au cours de l'offensive de janvier 1944, les tirailleurs nord-africains ont été les seuls à menacer sérieusement la ligne Gustav, réussissant même à la rompre au Belvédère lors de l'incroyable assaut du 4e régiment de tirailleurs tunisiens (4e RTT). Plus tard, dans ses mémoires, le général de Gaulle écrira que lors de cette bataille, « le 4e régiment de tirailleurs tunisiens accomplit un des faits d'armes les plus brillants de la guerre au prix de pertes énormes »
Tous les compliments qui existent sur terre ne suffisent pas pour reconnaître aux militaires tunisiens , leur rôle héroïque historique le 14 janv 2011, un rôle clé que seul les hommes d'actions, d'une certaine fierté, considèrent...

10.Posté par marc esra le 12/05/2013 08:00
analyse legere et sans grand interet du fait qu'elle n'apporte aucun element nouveau. le ou la redacteur ( trice) trompe son monde avec un pleade de termes et expressions Lourdes et pompeuses qui, dans son context n'est vraiment pas adapter a un article comme celui ci qui est senser ouvrir les yeux au peuple!!!! et c'est bien la le probleme de la tunisie!! ce peuple a qui l'on promet tant de choses mais a qui l'on fais sentir tout les jours sa basse condition et le fait qu'au dessus de lui il yaura toujours des elites ( en tunisie en l'ocurence elite de naissance comme dans un royaume avec une aristocratie arogante et hautaine) qui ne se generons pas , comme dans la tournure litteraire de cet article , pour cracher a la figure du peuple sa condition. enfin lorsque vous voulez faire des comparaisons mr , eviter de tirer trop par les cheuveux vos arguments!!! comparer la chute de ben ali a celle de saddam Hussein ou de ceaucescu.... ceux qui connaissent la tunisie et ceux qui ont connus ces deux pays ( irak et roumanie) sont bien conscients que les situations ne sont aucunement comparable!!!! je ne ferais pas un cours d'histoire pour vous mais de grace le journalism n'est pas un exercice grammaticale ou un essaie litteraire... alleger votre style et le produiser des articles que lorsque ceux ci sont pertinent... et oui cultivez vous plus

11.Posté par Rudy le 12/05/2013 09:00
Sauvetage ??? Vous me faite rigoler, on Vous a sortie de l'eau et maintenant Vous êtes dans le pétrin! Vous vivez moin chêr ? Vous avez plus de sécurité ? Vous avez moins de gourmandise a la tête de l'état ? Vous avez moins de corruption ? Vous êtes plus libres de voyager? Vous avez un monnaie stable ?Vous avez moins de chomage ? Vous avez plus de démocratie ? Je n'écris pas ceci pour rigoler de Vous le problême est le même pour le plus part des citoyen du monde mais ne Vous faite surtout pas acheter aux élections pour 10, 30, 50 Dinar les parties qui Vous propose ça sont a méfié, choisissez en ame et conscience pour Votre avenir et celui la de Vos enfants et petits enfants pour des gents qui veulent vraiment prévoir le controle du citoyen et les garde fou dans votre constitution.

12.Posté par Eddaghbèèjy le 12/05/2013 10:39
Voir ou revoir à ce sujet l'émission "à vous de choisir" d'Arlette Chabot le 30.01.2011 sur FR2.
L'idée qe je m'étais faite dans le sens du présent article et qe j'avais exprimée en son temps autour de moi m'avait valu colère,courroux et grandes hostilités de la part de presqe la totalité des membres de mon groupe.
Extrêmes chauvins de la "souveraineté nationale",ces derniers -très démocrates comme le commun des tunisiens- ont,depuis lors et pour cette raison, gelé les liens avec moi .
Entre autres affirmations,j'avais soutenu ma certitude (en janvier 2011 !!!) qe la fameuse "standing ovation" des membres du Congrès réunis par B.H.Obama était un hommage rendu à leurs services spéciaux qi avaient mené avec grand succès la mission dont ils avaient eu la charge.
En outre,je n'ai jamais admis qe un Bouazizi ou un Rachid Amar accèdent à la dignité de "héros nationaux"...

13.Posté par Dornach le 12/05/2013 13:00
L'impérialisme américain prédateur et criminel

http://wp.me/p1WnGr-g9

14.Posté par ben ammar le 12/05/2013 13:22
Pour répondre à la personne qui doute de l'identité de l'auteur du présent article, je tiens à cette disposition toutes les preuves matérielles infirmant ses allégations fantaisistes. Elle me confirme l'étroitesse de vue de la majorité des tunisiens. Je l'invite à lire les centaines d'articles publiés sur autant de sites. Ben Ammar Salem

15.Posté par Victime de Ben le 12/05/2013 18:38
Le pauvre Ben Ali ! il était honnête, intègre et surtout juste. il adorait son peuple et veillait à sa sécurité; un flic sur chaque citoyen. Ceux qui le critiquaient et l'accusaient injustement de despotisme n'ont trouvé que ce qu'ils méritaient: prison, harcelement, mort,... Il ne savait rien de ce que ses proches faisaient; détournement de fonds publics, abus de pouvoir, exécutions,... Le pauve; un bouc émissaire.
Trêve au sarcasme, Ben Ali aurait pu se réconcillier avec le peuple qu'il a opprimé pendant plus de 20 ans mais il n'a pas saissi cette occasion.
Le victimiser est si ridicule.

16.Posté par makrem le 12/05/2013 23:33
le jeu du pouvoir!? embrouille les pistes. ce qu'il faut en Tunisie et partout ailleurs, des flics et des journalistes courageux et intègres pour aller au bout de leur investigation, ainsi pousser les représentants de la justice à faire leur boulot:respect des lois par ceux même qui l'etablissent....ben Ali, ses clans et les anciens ont ralenti le développement de la Tunisie par leur manque de transparence et le détournement du rôle de l'état à des fins personnelles. je trouve que cet article est tiré par les cheveux

17.Posté par kimdee le 13/05/2013 00:22
Syrie: le député Laurent LOUIS dénonce le projet du Grand Israël devant le Parlement belge!
http://www.youtube.com/watch?v=SGki8ZyFI1U

Laurent LOUIS dénonce l'enrôlement de force d'enfants au sein de « l'armée syrienne libre>>
http://www.youtube.com/watch?v=mzkBhWGKs9c

Laurent LOUIS : Tunisie / Belgique, ou quand on assassine la démocratie et les Droits de l'Homme!
http://www.youtube.com/watch?v=9_xpAoavO6M

Le député Laurent LOUIS dénonce les pseudos attentats terroristes made in USA
http://www.youtube.com/watch?v=GTnsplTG1nk

Laurent LOUIS s'oppose à la guerre au Mali et dénonce la manipulation http://www.youtube.com/watch?v=TW9kWe3MI-M

18.Posté par Ali le 13/05/2013 03:02
Bravo à Mr Salem Ben Ammar pour le courage dont il a fait preuve dans cet article qui n'est pas politiquement correct mais intellectuellement honnête .

19.Posté par khmais le 13/05/2013 10:27
Et c'est toujours le Forgeron qui menne la BARQUE

20.Posté par farah le 13/05/2013 10:40
"le général « mexicain » Rachid Amar, homme de paille, un personnage terne et insignifiant, un acteur de seconde zone, "c'est ce que je pense réellement du général Rachid AMMAR.
Le pays est guidé par les ricains que tout le monde doit suivre les consignes à la lettre. Je me rappel de la réaction de Barrak OBAMA lors de la sorti du peuple les jours qui ont précédé le 14/01/2011, il a exprimé une certaine surprise , bien que j'étais convaincu que c'était un complot ricain mais sa réaction ne m'a échappé j'ai bien vu qu'ils ont eu peur de l'union des tunisiens! ce qui explique les efforts fournis pour le diviser. Mais encore les appels de kasba 1 et 2 qui visent la destruction de l'état tunisien.
Tous ça prouve qu'on est passé de la colonisation indirecte des français, à celle des ricians où l’accrochage devient de plus en plus claire.

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