Le président tunisien Béji Caïd Essebsi avec le Raïs égyptien Abdel Fattah Al-Sissi.
C’est à l’occasion de la célébration de la fête de la police que le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi a fait dans son discours une digression qui raisonne à la fois comme un conseil aux Tunisiens, et un avertissement aux traîtres qui foisonnent dans ce pays.
« Sans m’immiscer dans les affaires intérieures de nos frères en Tunisie, je voudrai dire au peuple tunisien que la situation économique est très difficile pour tout le monde. Mais je voudrai surtout leur dire prenez soin de votre pays, soyez vigilants par amour de votre pays ». Ne pas s’immiscer dans les affaires intérieures des autres, est un message codé directement adressé aux Frères musulmans d’Ennahdha et à leurs supplétifs nichés dans d’autres partis. Prendre soin de votre pays est un message aux manifestants dont la colère légitime pourrait être exploitée par les ennemis intérieurs et extérieurs de la Tunisie, comme l’avait d’ailleurs indiqué le président Béji Caïd Essebsi dans son dernier discours à la nation.
Le président égyptien a continué son allocution en précisant : « Je le dis aujourd’hui afin qu’au jour du dernier jugement, l’on puisse témoigner que j’ai recommandé le bien, la paix, la sécurité, le développement, la stabilité. Que je n’ai pas conseillé la peur, ni le vandalisme, ni la destruction, ni le crime, ni l’injure, ni le mal. Je m’adresse donc à tous ceux qui m‘entendent, partout dans le monde, pour leur dire prenez soin de vos pays, ne participez pas à la ruine de vos pays… ».
Effectivement, à l’inverse du frère musulman Rached Ghannouchi, de Moncef Marzouki et des autres mercenaires du Qatar, qui mènent, en Tunisie et ailleurs, une campagne de dénigrement et de désinformation contre l’Egypte, Abdel Fattah Al-Sissi ne prêche pas la peur, le vandalisme, la destruction, le crime et l’injure contre le peuple tunisien. Il a su redresser le bateau ivre égyptien pour l’amarrer aux sources du Nil et aux sources jamais taries du patriotisme nassérien. Ce qui est loin d’être le cas pour la défunte Tunisie.
Nebil Ben Yahmed
Vidéo : Extrait du discours du président Abdel Fattah Al-Sissi :
« Sans m’immiscer dans les affaires intérieures de nos frères en Tunisie, je voudrai dire au peuple tunisien que la situation économique est très difficile pour tout le monde. Mais je voudrai surtout leur dire prenez soin de votre pays, soyez vigilants par amour de votre pays ». Ne pas s’immiscer dans les affaires intérieures des autres, est un message codé directement adressé aux Frères musulmans d’Ennahdha et à leurs supplétifs nichés dans d’autres partis. Prendre soin de votre pays est un message aux manifestants dont la colère légitime pourrait être exploitée par les ennemis intérieurs et extérieurs de la Tunisie, comme l’avait d’ailleurs indiqué le président Béji Caïd Essebsi dans son dernier discours à la nation.
Le président égyptien a continué son allocution en précisant : « Je le dis aujourd’hui afin qu’au jour du dernier jugement, l’on puisse témoigner que j’ai recommandé le bien, la paix, la sécurité, le développement, la stabilité. Que je n’ai pas conseillé la peur, ni le vandalisme, ni la destruction, ni le crime, ni l’injure, ni le mal. Je m’adresse donc à tous ceux qui m‘entendent, partout dans le monde, pour leur dire prenez soin de vos pays, ne participez pas à la ruine de vos pays… ».
Effectivement, à l’inverse du frère musulman Rached Ghannouchi, de Moncef Marzouki et des autres mercenaires du Qatar, qui mènent, en Tunisie et ailleurs, une campagne de dénigrement et de désinformation contre l’Egypte, Abdel Fattah Al-Sissi ne prêche pas la peur, le vandalisme, la destruction, le crime et l’injure contre le peuple tunisien. Il a su redresser le bateau ivre égyptien pour l’amarrer aux sources du Nil et aux sources jamais taries du patriotisme nassérien. Ce qui est loin d’être le cas pour la défunte Tunisie.
Nebil Ben Yahmed
Vidéo : Extrait du discours du président Abdel Fattah Al-Sissi :