De gauche à droite, Imed Daïmi, Ayman Nour, Tawakkol Karman, trois facettes de la même fausse monnaie américano-qatarie.
Après avoir échoué à faire tomber la résistante Syrie et la vaillante Algérie pour rendre le « printemps arabe » irréversible, les suppôts de l’impérialisme et du néocolonialisme essayent de se reconstituer en prévision de la bataille décisive entre les nationalistes et les islamo-atlantistes.
C’est ce qui ressort de la création d'un « Conseil arabe de défense des révolutions et de la démocratie », qui a été annoncé samedi 26 juillet, à partir du siège du Congrès pour le République (CPR), cellule cancéreuse d’Ennahda.
Le comité constitutif de cette nouvelle vitrine de l’islamo-atlantisme comprend notamment l’intégriste yéménite Tawakkol Karman, création emblématique de Freedom House et d’Al-Jazeera, consacrée en 2011 « Prix Nobel de la paix », trophée auquel aspirait la cyber-collabos Lina Ben Mhenni, Aymen Nour, principal agent américain en Egypte et fondateur du parti "Le lendemain de la Révolution", et Imed Daïmi, tartempion du Tartour et secrétaire général du fantomatique CPR.
Lors de leur conférence de presse tenue par le CPR à l'occasion de son 13ème anniversaire, les membres de ce comité ont présenté les objectifs de leur « Conseil arabe de défense des révolutions et de la démocratie ». Il s’agit pour ces mercenaires de « surmonter les échecs essuyés par les révolutions du Printemps arabe et d'en défendre les acquis et valeurs, en premier lieu la liberté, la dignité et la démocratie ». Ils reconnaissent ainsi l’échec du « printemps arabe » dont ils ont été les agents exécutants et les sinistres acteurs.
Au cours de cette conférence de presse, l’islamiste recyclé dans le CPR, Imed Daïmi a indiqué que la création de cette organisation a surtout pour but de « fédérer toutes les forces révolutionnaires des pays du Printemps arabe pour favoriser le succès du processus d'émancipation et de changement dans l'ensemble de la région ».
En d’autres termes, il s’agit de donner un nouveau souffle à la conspiration americano-qatarie qui a mis le feu dans le monde arabe et dont l’anesthésiant, « dignité », « liberté » et « démocratie » n’a plus d’effets sur les peuples arabes qui ont été trompés, manipulés et excités en 2011 et qui n’ont pas fini de payer le prix de leur trahison, de leur ignorance et de leur immaturité politique.
Nebil Ben Yahmed
C’est ce qui ressort de la création d'un « Conseil arabe de défense des révolutions et de la démocratie », qui a été annoncé samedi 26 juillet, à partir du siège du Congrès pour le République (CPR), cellule cancéreuse d’Ennahda.
Le comité constitutif de cette nouvelle vitrine de l’islamo-atlantisme comprend notamment l’intégriste yéménite Tawakkol Karman, création emblématique de Freedom House et d’Al-Jazeera, consacrée en 2011 « Prix Nobel de la paix », trophée auquel aspirait la cyber-collabos Lina Ben Mhenni, Aymen Nour, principal agent américain en Egypte et fondateur du parti "Le lendemain de la Révolution", et Imed Daïmi, tartempion du Tartour et secrétaire général du fantomatique CPR.
Lors de leur conférence de presse tenue par le CPR à l'occasion de son 13ème anniversaire, les membres de ce comité ont présenté les objectifs de leur « Conseil arabe de défense des révolutions et de la démocratie ». Il s’agit pour ces mercenaires de « surmonter les échecs essuyés par les révolutions du Printemps arabe et d'en défendre les acquis et valeurs, en premier lieu la liberté, la dignité et la démocratie ». Ils reconnaissent ainsi l’échec du « printemps arabe » dont ils ont été les agents exécutants et les sinistres acteurs.
Au cours de cette conférence de presse, l’islamiste recyclé dans le CPR, Imed Daïmi a indiqué que la création de cette organisation a surtout pour but de « fédérer toutes les forces révolutionnaires des pays du Printemps arabe pour favoriser le succès du processus d'émancipation et de changement dans l'ensemble de la région ».
En d’autres termes, il s’agit de donner un nouveau souffle à la conspiration americano-qatarie qui a mis le feu dans le monde arabe et dont l’anesthésiant, « dignité », « liberté » et « démocratie » n’a plus d’effets sur les peuples arabes qui ont été trompés, manipulés et excités en 2011 et qui n’ont pas fini de payer le prix de leur trahison, de leur ignorance et de leur immaturité politique.
Nebil Ben Yahmed