« Je veux republier sur mon mur cet article pour rappeler a tous (amis et ennemis ) que ma situation n'a pas évoluée depuis le 14 janvier 2011 et je suis encore sans passeport et encore entre les mains de la justice et rappeler a tous que je ne suis pas un retourneur de veste et que je suis né Destourien et mourrait Destourien et que personne ne pourra apporter la preuve du contraire ,même si j'ai beaucoup d'amis ( c'est ma nature démocratique et pacifiste ) aussi bien parmi les responsables au pouvoir que parmi tous les Destouriens, que parmi tous les partis d'opposition et je souhaite de tout mon cœur que les Tunisiens s'acceptent entre eux, malgré les différences politiques, car ce qui nous unis c'est quelque chose de plus fort que l'appartenance politique, c'est la Tunisie, pour laquelle nous nous battons tous, pour qu'elle soit le plus beau Pays au Monde, parce que c'est notre seul pays ».
L’article dont Hédi Djilani parle a été publié dans Tunisie Numérique, le 3 juin 2013, à la suite de l’appel qu’il a adressé à l’opinion publique pour clamer son innocence et affirmer sa gestion rigoureuse et irréprochable de l’UTICA de 2006 à 2011, ce que le congrès de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, tenu en janvier 2013, avait d’ailleurs confirmé. Le 19 juin 2013, lors d’une réunion du conseil administratif de la centrale patronale, sa présidente, la courageuse et honnête Wided Bouchamaoui, a vaillamment soutenu son prédécesseur à la tête de l’UTICA, en appelant à la levée de « l’injustice dont il est la victime ». La création d’un comité de soutien à Hédi Djilani a même été annoncé.
Malgré ce soutien de l’actuelle direction de l’UTICA et les interventions de quelques personnalités françaises, notamment du Patronat français, sa situation n’a pas bougé d’un iota. Il est toujours sous le coup d’une interdiction de voyager, comme des dizaines d’autres citoyens. Patriote et ami de tout le monde en Tunisie et à l’étranger, Hédi Djilani peut pourtant contribuer au sauvetage de l’économie tunisienne qui est en berne. Avec les bonnes relations à l'étranger qu'il a conservé avec le milieu des affaires, de l'industrie et du commerce, il aurait pu contribuer au retour des investisseurs dans un pays que beaucoup de patrons européens ont quitté. Sur 1200 grandes et moyennes entreprise françaises implantées en Tunisie en 2010, il ne restent plus qu'à peine 500. Mais la mafia troïkarde qui est au gouvernement s’en fou de la situation économique de la Tunisie. Tout ce qui l’intéresse, c’est de se maintenir le plus longtemps possible au pouvoir et d’amasser le maximum d’argent.
Ceux qui ont loyalement servi leur pays en faisant de la Tunisie un pays économiquement prospère, se trouvent en prison ou interdit de voyager, et ceux qui ont tout détruit en moins de deux ans en provoquant la faillite économique de la Tunisie gouvernent encore. Ainsi va la Tunisie après la très glorieuse révolution du jasmin !
Karim Zmerli
L’article dont Hédi Djilani parle a été publié dans Tunisie Numérique, le 3 juin 2013, à la suite de l’appel qu’il a adressé à l’opinion publique pour clamer son innocence et affirmer sa gestion rigoureuse et irréprochable de l’UTICA de 2006 à 2011, ce que le congrès de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, tenu en janvier 2013, avait d’ailleurs confirmé. Le 19 juin 2013, lors d’une réunion du conseil administratif de la centrale patronale, sa présidente, la courageuse et honnête Wided Bouchamaoui, a vaillamment soutenu son prédécesseur à la tête de l’UTICA, en appelant à la levée de « l’injustice dont il est la victime ». La création d’un comité de soutien à Hédi Djilani a même été annoncé.
Malgré ce soutien de l’actuelle direction de l’UTICA et les interventions de quelques personnalités françaises, notamment du Patronat français, sa situation n’a pas bougé d’un iota. Il est toujours sous le coup d’une interdiction de voyager, comme des dizaines d’autres citoyens. Patriote et ami de tout le monde en Tunisie et à l’étranger, Hédi Djilani peut pourtant contribuer au sauvetage de l’économie tunisienne qui est en berne. Avec les bonnes relations à l'étranger qu'il a conservé avec le milieu des affaires, de l'industrie et du commerce, il aurait pu contribuer au retour des investisseurs dans un pays que beaucoup de patrons européens ont quitté. Sur 1200 grandes et moyennes entreprise françaises implantées en Tunisie en 2010, il ne restent plus qu'à peine 500. Mais la mafia troïkarde qui est au gouvernement s’en fou de la situation économique de la Tunisie. Tout ce qui l’intéresse, c’est de se maintenir le plus longtemps possible au pouvoir et d’amasser le maximum d’argent.
Ceux qui ont loyalement servi leur pays en faisant de la Tunisie un pays économiquement prospère, se trouvent en prison ou interdit de voyager, et ceux qui ont tout détruit en moins de deux ans en provoquant la faillite économique de la Tunisie gouvernent encore. Ainsi va la Tunisie après la très glorieuse révolution du jasmin !
Karim Zmerli