A en croire les informations du journal londonien The Independent, les investigations des services de renseignements et des autorités judiciaires relatives à l’assassin du journaliste américain James Foley, se concentreraient désormais sur un ancien jeune rappeur londonien, parti «se battre pour l'Etat islamique en Syrie», c’est-à-dire pour la destruction du régime syrien, à laquelle s’emploie le gouvernement de sa Majesté depuis 2011.
L’horrible vidéo de l'assassinat de James Foley, diffusée sur Internet, avait rapidement permis d'établir que le bourreau du journaliste américain, se faisant appeler John, était d'origine britannique, du fait notamment de son accent, typique d'un «anglais multicurel londonien», confiait une linguiste au Guardian le 20 août.
Un profil qui correspondre à Abdel-Majed Abdel-Bary, 24 ans, parti en Syrie en juillet 2013 et dont les chansons produites sous le nom de «L Jinny» ou «Lyricist Jinn», étaient notamment diffusés sur les ondes de la BBC en 2012.
Le sinistre parcours de ce jeune de la « diversité », comme on dirait en France, est connu depuis longtemps, et pas seulement en tant que rappeur. Le 15 août dernier, il publiait sur son compte Twitter une photo de lui, tenant une tête à bout de bras, avec comme légende: «Moi et mon pote, ou en tout cas ce qu'il en reste.» Dans un autre tweet, il disait vouloir «se venger de l'occident mécréant...», ajoutant qu’ «Il n'y aura de paix dans le monde qu'après avoir vu la victoire de l'islam et l'étendard du djihad hissé partout ».
Selon le The Independent, le père d’Abdel-Majed Abdel-Bary, un certain Adel Abdel-Majed Abdel-Bary (54 ans), réfugié « politique » égyptien, comme il y en avait beaucoup au pays des Frères Musulmans et des Frères Maçons, est également bien connu des autorités policières, puisqu’il était considéré comme «l'un des plus proches lieutenants d'Ousama Ben Laden». Il a été extradé aux Etats-Unis en 2012, suspecté d'avoir activement participé à deux attentats visant les ambassades américaines à Nairobi (Kenya) et à Dar Essalem (Tanzanie) en 1990.
Toujours selon le quotidien londonien, l'évolution de ce rappeur de 24 ans serait perceptible dans ses productions « musicales ». Dans l'une de ses dernières productions, diffusées en mars 2013 et intitulée «The Beginning», il affirmait : «Donne moi la fierté et l'honneur de mon père. Je jure que le jour où ils sont venus prendre mon père, j'aurais pu tuer un flic ou deux.»
Deux autres bons citoyens Britanniques sont suspectés d'agir aux côtés d'Abdel-Majed Abdel-Bary en Syrie. Il s'agirait d'un médecin arrêté puis acquitté en 2012 pour «le kidnapping d'un journaliste britannique, John Cantlie», précise The Telegraph, qui ajoute: « «Il avait toujours clamé son innocence, affirmant être allé en Syrie pour aider les victimes de la guerre civile.»
Le troisième suspect serait un ancien dealer de drogue de l'Ouest de Londres, converti à l'Islam en prison et parti faire le djihad en Syrie. Tous les trois feraient partie d'un groupe se faisant appeler «Les Beatles», selon un ancien otage interrogé par Le Guardian.
Injure suprême aux Beatles, qui hantaient l’amour, la fraternité et la paix, contrairement à ces islamo-fascistes qui transpirent la haine de l’autre et le fanatisme, et qui ne sont point le produit de la haute culture islamique, mais de la basse et sous-culture britannique.
«Il est terrifiant d'imaginer que l'auteur d'un acte aussi haineux puisse avoir été élevé au Royaume-Uni», s’est indigné Philipp Hammond, le ministre britannique des Affaires étrangères, en ajoutant qu’il s’agit là d’une «haute trahison pour le pays, ses valeurs et tout ce que le peuple britannique représente ».
Non, Monsieur le ministre de sa gracieuse Majesté, ce jeune égorgeur n’a commis aucun crime de haute trahison, mais un crime barbare et crapuleux frappé du sceau de l’islam londonien. La haute trahison, c’est vous et votre gouvernement, allié du Qatar et de l’Arabie Saoudite, qui aviez fait de Londres la capitale mondiale de l’Internationale-islamo-terroriste.
Lilia Ben Rejeb
Vidéo-clip du rappeur transfiguré en égorgeur :
https://www.youtube.com/watch?v=T94OXemNDcc
L’horrible vidéo de l'assassinat de James Foley, diffusée sur Internet, avait rapidement permis d'établir que le bourreau du journaliste américain, se faisant appeler John, était d'origine britannique, du fait notamment de son accent, typique d'un «anglais multicurel londonien», confiait une linguiste au Guardian le 20 août.
Un profil qui correspondre à Abdel-Majed Abdel-Bary, 24 ans, parti en Syrie en juillet 2013 et dont les chansons produites sous le nom de «L Jinny» ou «Lyricist Jinn», étaient notamment diffusés sur les ondes de la BBC en 2012.
Le sinistre parcours de ce jeune de la « diversité », comme on dirait en France, est connu depuis longtemps, et pas seulement en tant que rappeur. Le 15 août dernier, il publiait sur son compte Twitter une photo de lui, tenant une tête à bout de bras, avec comme légende: «Moi et mon pote, ou en tout cas ce qu'il en reste.» Dans un autre tweet, il disait vouloir «se venger de l'occident mécréant...», ajoutant qu’ «Il n'y aura de paix dans le monde qu'après avoir vu la victoire de l'islam et l'étendard du djihad hissé partout ».
Selon le The Independent, le père d’Abdel-Majed Abdel-Bary, un certain Adel Abdel-Majed Abdel-Bary (54 ans), réfugié « politique » égyptien, comme il y en avait beaucoup au pays des Frères Musulmans et des Frères Maçons, est également bien connu des autorités policières, puisqu’il était considéré comme «l'un des plus proches lieutenants d'Ousama Ben Laden». Il a été extradé aux Etats-Unis en 2012, suspecté d'avoir activement participé à deux attentats visant les ambassades américaines à Nairobi (Kenya) et à Dar Essalem (Tanzanie) en 1990.
Toujours selon le quotidien londonien, l'évolution de ce rappeur de 24 ans serait perceptible dans ses productions « musicales ». Dans l'une de ses dernières productions, diffusées en mars 2013 et intitulée «The Beginning», il affirmait : «Donne moi la fierté et l'honneur de mon père. Je jure que le jour où ils sont venus prendre mon père, j'aurais pu tuer un flic ou deux.»
Deux autres bons citoyens Britanniques sont suspectés d'agir aux côtés d'Abdel-Majed Abdel-Bary en Syrie. Il s'agirait d'un médecin arrêté puis acquitté en 2012 pour «le kidnapping d'un journaliste britannique, John Cantlie», précise The Telegraph, qui ajoute: « «Il avait toujours clamé son innocence, affirmant être allé en Syrie pour aider les victimes de la guerre civile.»
Le troisième suspect serait un ancien dealer de drogue de l'Ouest de Londres, converti à l'Islam en prison et parti faire le djihad en Syrie. Tous les trois feraient partie d'un groupe se faisant appeler «Les Beatles», selon un ancien otage interrogé par Le Guardian.
Injure suprême aux Beatles, qui hantaient l’amour, la fraternité et la paix, contrairement à ces islamo-fascistes qui transpirent la haine de l’autre et le fanatisme, et qui ne sont point le produit de la haute culture islamique, mais de la basse et sous-culture britannique.
«Il est terrifiant d'imaginer que l'auteur d'un acte aussi haineux puisse avoir été élevé au Royaume-Uni», s’est indigné Philipp Hammond, le ministre britannique des Affaires étrangères, en ajoutant qu’il s’agit là d’une «haute trahison pour le pays, ses valeurs et tout ce que le peuple britannique représente ».
Non, Monsieur le ministre de sa gracieuse Majesté, ce jeune égorgeur n’a commis aucun crime de haute trahison, mais un crime barbare et crapuleux frappé du sceau de l’islam londonien. La haute trahison, c’est vous et votre gouvernement, allié du Qatar et de l’Arabie Saoudite, qui aviez fait de Londres la capitale mondiale de l’Internationale-islamo-terroriste.
Lilia Ben Rejeb
Vidéo-clip du rappeur transfiguré en égorgeur :
https://www.youtube.com/watch?v=T94OXemNDcc