De sources algériennes dignes de foi, l’ambassade de Turquie à Alger a pris contact avec plusieurs personnalités de l’opposition algérienne, des milieux dits des droits de l’homme ainsi que de jeunes cybers-collabos déjà pris en charge par Freedom House, pour les mobiliser contre ce qu’ils appellent la junte militaire. Des invitations officielles leur ont été adressées pour participer à un grand symposium qui aura prochainement lieu à Istanbul, sous le haut patronage d’Erdogan.
L’astuce que ce Frère musulman a trouvée pour dissimuler ses véritables intentions, c’est de rassembler toutes ces personnalités et organisations algériennes, qui partagent toutes la même haine à l’égard de la « junte militaire », autour d’un thème fédérateur : exiger du pouvoir syrien la restitution du burnous de l’émir Abdelkhader ! L’idée a l’air anecdotique, mais au pays de l’islamisme « modéré », on ne manque pas d’imagination !
En réalité, cette manœuvre erdoganienne est une réplique à la visite qu’un group de personnalités politiques, de journalistes et d’intellectuels algériens a récemment effectuée en Syrie. Ces patriotes algériens ont rencontré le président Bachar Al-Assad et ont publiquement déclaré leur soutien à l’Etat et au peuple syrien contre l’invasion terroriste supervisée par l’Occident et financée par le Qatar et l’Arabie Saoudite. Lors de cette rencontre, ils ont offert au président syrien un burnous traditionnel algérien, ainsi qu’une toile représentant l’émir Abdelkhader. Tout cela a évidemment fortement contrarié le chef des Frères musulmans turcs et l’allié stratégique d’Israël, dont l’un des sbires a déclaré sur la chaine de Hamad et Mozza que « la vraie opposition algérienne n’est pas libre de ses mouvements et de ses opinions, tant au sujet de la situation intérieure algérienne qu’au sujet des pays du printemps arabe et tout particulièrement de la Syrie ».
Depuis le retournement de situation en Egypte en juillet dernier, Recep Tayyip Erdogan n’est plus dans la Taquiyya (duplicité) chère aux Frères musulmans. Le 22 novembre dernier, réagissant à l’expulsion de son ambassadeur au Caire Fouad Tougay, il a déclaré que son gouvernement ne « respecterait jamais des dirigeants installés par des militaires », n’hésitant pas à singer, tel un adolescent, le symbole de ses frères en secte, la main aux quatre doigts de Rabia. « Je ne respecterai jamais ceux qui sont arrivés au pouvoir par un coup d’Etat », a-t-il dit devant des journalistes, en ajoutant que 60 ans de dictature militaire et de corruption ont ruiné l’Egypte.
Il y a un proverbe français qui dit : « Lorsqu’on joue à l’arme de la morale, il faut avoir la culotte bien propre ». Monsieur Erdogan semble oublier qu’en matière de corruption, il n’a pas de leçon à donner aux Egyptiens et encore moins aux Algériens. Notre Seldjoukide a été dévoilé par ses propres maîtres américains dans un câble du 30 décembre 2004, adressé par l’ancien ambassadeur des Etats-Unis à Ankara, Eric S. Edelman, à son administration et rendu public par Wikileaks en novembre 2010. Ce diplomate écrivait alors que « Le frère Recep commence à nous agacer et son autoritarisme galopant menace d’implosion l’AKP…Sa corruption peut provoquer une grave crise en Turquie ».
Le seul journal occidental à s’être intéressé à la corruption d’Erdogan est le quotidien suisse, Le Temps, qui a révélé l’existence de 7 comptes bancaires en Suisse portant le nom de notre Seldjoukide, de son fils Ahmet Bourak et de son épouse Amina. Face aux critiques de l’opposition en exil, Erdogan a fini par reconnaitre que sa fortune personnelle s’élève à 1,2 millions de dollars, qu’il possède deux terrains d’une valeur de 37000 dollars, qu’il détient 10% des parts de la société de son fils « Bourak Alimentaire et Commerciale », et que son épouse voilée, Amina, roule en Volkswagen !
Malheureusement pour ce Frère musulman qui s’est rêvé en Calife, Rahmi Koç, l’une des plus grosses fortunes de Turquie, a déclaré que la fortune d’Erdogan s’élève à 1 milliard de dollars, que ses quatre fils pratiquent le racket et monopolisent le monde des affaires, qu’il a acheté à son fils Ahmet Bourak un bateau cargo à 2 millions et 300000 dollars, et à son fils Bilal un complexe industriel en Bulgarie…
Le Monsieur propre de l’islamisme « modéré » devrait donc balayer devant sa propre porte, avant de critiquer la « junte algérienne », le régime égyptien et le président Bachar Al-Assad, qui a osé mettre en échec le plan islamo-sioniste dans la région.TunisieSecret
Karim Zmerli
L’astuce que ce Frère musulman a trouvée pour dissimuler ses véritables intentions, c’est de rassembler toutes ces personnalités et organisations algériennes, qui partagent toutes la même haine à l’égard de la « junte militaire », autour d’un thème fédérateur : exiger du pouvoir syrien la restitution du burnous de l’émir Abdelkhader ! L’idée a l’air anecdotique, mais au pays de l’islamisme « modéré », on ne manque pas d’imagination !
En réalité, cette manœuvre erdoganienne est une réplique à la visite qu’un group de personnalités politiques, de journalistes et d’intellectuels algériens a récemment effectuée en Syrie. Ces patriotes algériens ont rencontré le président Bachar Al-Assad et ont publiquement déclaré leur soutien à l’Etat et au peuple syrien contre l’invasion terroriste supervisée par l’Occident et financée par le Qatar et l’Arabie Saoudite. Lors de cette rencontre, ils ont offert au président syrien un burnous traditionnel algérien, ainsi qu’une toile représentant l’émir Abdelkhader. Tout cela a évidemment fortement contrarié le chef des Frères musulmans turcs et l’allié stratégique d’Israël, dont l’un des sbires a déclaré sur la chaine de Hamad et Mozza que « la vraie opposition algérienne n’est pas libre de ses mouvements et de ses opinions, tant au sujet de la situation intérieure algérienne qu’au sujet des pays du printemps arabe et tout particulièrement de la Syrie ».
Depuis le retournement de situation en Egypte en juillet dernier, Recep Tayyip Erdogan n’est plus dans la Taquiyya (duplicité) chère aux Frères musulmans. Le 22 novembre dernier, réagissant à l’expulsion de son ambassadeur au Caire Fouad Tougay, il a déclaré que son gouvernement ne « respecterait jamais des dirigeants installés par des militaires », n’hésitant pas à singer, tel un adolescent, le symbole de ses frères en secte, la main aux quatre doigts de Rabia. « Je ne respecterai jamais ceux qui sont arrivés au pouvoir par un coup d’Etat », a-t-il dit devant des journalistes, en ajoutant que 60 ans de dictature militaire et de corruption ont ruiné l’Egypte.
Il y a un proverbe français qui dit : « Lorsqu’on joue à l’arme de la morale, il faut avoir la culotte bien propre ». Monsieur Erdogan semble oublier qu’en matière de corruption, il n’a pas de leçon à donner aux Egyptiens et encore moins aux Algériens. Notre Seldjoukide a été dévoilé par ses propres maîtres américains dans un câble du 30 décembre 2004, adressé par l’ancien ambassadeur des Etats-Unis à Ankara, Eric S. Edelman, à son administration et rendu public par Wikileaks en novembre 2010. Ce diplomate écrivait alors que « Le frère Recep commence à nous agacer et son autoritarisme galopant menace d’implosion l’AKP…Sa corruption peut provoquer une grave crise en Turquie ».
Le seul journal occidental à s’être intéressé à la corruption d’Erdogan est le quotidien suisse, Le Temps, qui a révélé l’existence de 7 comptes bancaires en Suisse portant le nom de notre Seldjoukide, de son fils Ahmet Bourak et de son épouse Amina. Face aux critiques de l’opposition en exil, Erdogan a fini par reconnaitre que sa fortune personnelle s’élève à 1,2 millions de dollars, qu’il possède deux terrains d’une valeur de 37000 dollars, qu’il détient 10% des parts de la société de son fils « Bourak Alimentaire et Commerciale », et que son épouse voilée, Amina, roule en Volkswagen !
Malheureusement pour ce Frère musulman qui s’est rêvé en Calife, Rahmi Koç, l’une des plus grosses fortunes de Turquie, a déclaré que la fortune d’Erdogan s’élève à 1 milliard de dollars, que ses quatre fils pratiquent le racket et monopolisent le monde des affaires, qu’il a acheté à son fils Ahmet Bourak un bateau cargo à 2 millions et 300000 dollars, et à son fils Bilal un complexe industriel en Bulgarie…
Le Monsieur propre de l’islamisme « modéré » devrait donc balayer devant sa propre porte, avant de critiquer la « junte algérienne », le régime égyptien et le président Bachar Al-Assad, qui a osé mettre en échec le plan islamo-sioniste dans la région.TunisieSecret
Karim Zmerli