« Deux personnes ont joué un rôle clef dans les événements en Egypte : Jared Cohen et Wael Ghonim. Lorsque je me suis penché sur ce dossier, j’ai découvert que le Département d’Etat collaborait avec Google et avec une organisation de jeunesse qui s’appelle AYM (Alliance of Youth Movements) pour préparer les révoltes arabes.
Question : pensez-vous réellement que cela a une relation avec le Département d’Etat ?
Je ne le pense pas, je l’ai vu et constaté. Cela s’est produit réellement et nous savons qu’il y a eu une étroite collaboration entre Google et le Département d’Etat. Google l’avait d’ailleurs publiquement reconnu. Les deux personnes citées (Cohen et Ghonim) étaient sous-directeurs au sein de Google. Leur mission était de provoquer la révolution en Egypte.
Question : vous voulez dire la chute de Moubarak ?
Oui, absolument. Il y a 4 ou 5 directeurs exécutifs de Google qui occupaient des postes politiques au sein du gouvernement américain, notamment Eric Schmidt, qui a raconté des choses terribles que j’ai d’ailleurs relatées à mon tour dans mes émissions. Il s’est retiré de son poste il y a deux semaines pour rejoindre un autre conseil d’administration (Tides Fondation), avec Van Jones et Drouman Pipe.
Question : ce n’est pas une Fondation financée par Georges Soros ?
Oui, absolument. Vous constaterez d’ailleurs que Soros est tout à fait d’accord avec Google au sujet de la société ouverte.
Question : vous dites donc que celui qui dirigeait Google était toujours d’accord avec Georges Soros ?
Oui, tout à fait, ils ont les mêmes visions, outre les 4 ou 5 autres responsables de Google qui sont des directeurs exécutifs dans le cabinet présidentiel de la Maison Blanche.
Question : que peut-on conclure de tout cela ? Qu’ils ont exercé une influence sur les événements en Egypte ?
Oui, bien sûr, et ils ont utilisé internet pour y arriver. Google l’a avoué. Par le biais de ses directeurs, Google a allumé la révolution en Egypte, et ils en sont fiers. Tout ce que j’ai fait personnellement, c’est enquêter sur les causes de ces révoltes… ».
Karim Zmerli
Question : pensez-vous réellement que cela a une relation avec le Département d’Etat ?
Je ne le pense pas, je l’ai vu et constaté. Cela s’est produit réellement et nous savons qu’il y a eu une étroite collaboration entre Google et le Département d’Etat. Google l’avait d’ailleurs publiquement reconnu. Les deux personnes citées (Cohen et Ghonim) étaient sous-directeurs au sein de Google. Leur mission était de provoquer la révolution en Egypte.
Question : vous voulez dire la chute de Moubarak ?
Oui, absolument. Il y a 4 ou 5 directeurs exécutifs de Google qui occupaient des postes politiques au sein du gouvernement américain, notamment Eric Schmidt, qui a raconté des choses terribles que j’ai d’ailleurs relatées à mon tour dans mes émissions. Il s’est retiré de son poste il y a deux semaines pour rejoindre un autre conseil d’administration (Tides Fondation), avec Van Jones et Drouman Pipe.
Question : ce n’est pas une Fondation financée par Georges Soros ?
Oui, absolument. Vous constaterez d’ailleurs que Soros est tout à fait d’accord avec Google au sujet de la société ouverte.
Question : vous dites donc que celui qui dirigeait Google était toujours d’accord avec Georges Soros ?
Oui, tout à fait, ils ont les mêmes visions, outre les 4 ou 5 autres responsables de Google qui sont des directeurs exécutifs dans le cabinet présidentiel de la Maison Blanche.
Question : que peut-on conclure de tout cela ? Qu’ils ont exercé une influence sur les événements en Egypte ?
Oui, bien sûr, et ils ont utilisé internet pour y arriver. Google l’a avoué. Par le biais de ses directeurs, Google a allumé la révolution en Egypte, et ils en sont fiers. Tout ce que j’ai fait personnellement, c’est enquêter sur les causes de ces révoltes… ».
Karim Zmerli