Il aurait commes initiales F.M. alias John Wayne. Il est le célèbre commentateur anonyme de Business News, l’un des rares journaux numériques tunisiens qui n’est pas dans le politiquement correct et le financièrement juteux. Ces textes, remarquablement bien rédigés et argumentés, qui ne manquent pas d'humour, ne laissent personne indifférent. Le peuple le déteste et la Nation l’admire. Ses cibles préférées, les traîtres du RCD qui ont retourné leurs vestes, l’opposition marxiste aux illusions libérales, l’opposition libérale aux références marxistes et, surtout, le gouvernement « islamo-sioniste » que le peuple a « élu », avec la bénédiction de John McCain, la sanctification de cheikh Hamad et la Fâatiha d’Erdogan !
Nous empruntons à Business News leur commentateur vedette, que nous avons identifié, pour en faire notre éditorialiste au lance roquette. Les écrits de John Wayne méritent, en effet, de figurer à la une et non pas au bas d’un article, à titre de commentaire. Nous avons sélectionné aujourd’hui pour vous cette "pépite" au sujet de Kamel Eltaïef, dont il faut prendre la fin au second degré.
IL N'A D'INFLUENCE QUE SUR LA GARDE ROBE DE SA FEMME
Business News, le 31/10/2012
Il y a quelque chose de profondément loufoque dans cette affaire. D'abord dire que Kamel Letaïef a une influence sur des hauts cadres du MIT (ministère de l’Intérieur) est risible. Ces cadres du MIT ont certainement répondu aux appels de ce Monsieur sans le prendre vraiment au sérieux. La seule influence que Kamel L. a eu dans sa vie c'est quand il faisait des rapports détaillés sur Ben Ali en compagnie de son compère BCE, aux différents Ambassadeurs Américains qui ont été en poste en Tunisie.
Kamel L. avait une influence négligeable en Tunisie même s'il se croyait important. Ben Ali savait que Kamel L. était un traitre mais il n'a jamais voulu lui nuire par générosité et parce que les deux hommes étaient de la même région. Cette affaire met en relief le chaos dans lequel la Tunisie a plongé. Le niveau de la politique tunisienne d'aujourd'hui vole bas.
Des traitres se querellent pour essayer de s'accaparer un pouvoir qui leur a échappé définitivement le jour où les islamistes ont gagné des élections illégales imposées par l'armée nationale et son sponsor la CIA.
Kamel L. comme BCE, est pris à son propre piège. Certes nous savions que cet homme possédait les numéros de téléphones de nombreux de nos cadres au MIT, mais son influence était au temps de Ben Ali négligeable. Elle l'est d'autant plus depuis la victoire des islamistes Tunisiens que cet homme ne pourra jamais affronter avec sa petite taille, sa voie efféminée, sa Mercedes, et ses téléphones portables.
Et en ancien fonctionnaire de l'Etat Tunisien, laisser-moi vous dire une chose : au MIT, Leila Trabelsi était plus respectée et avait plus d'influence que Kamel L. qui nous a plusieurs fois vendu au journal Le Monde et que nous n'avons pas tabassé car Ben Ali était un homme bon et au-dessus de tout. Ben Ali nous avait demandé d'épargner cette loque et cet opportuniste. Beaucoup de mes collègues en auraient fait un punching ball.
Quand a Rafik Hadj Kacem qui est un héros de cette Tunisie trahie par son peuple, il a été limogé et emprisonné dans le cadre d'un démantèlement des cerveaux de la Tunisie de Ben Ali au même titre que la Debaathification de l'Irak de l'après Saddam Hussein. Kamel L. en courtier du sexe, n'était pas du niveau de Rafik Hadj Kacem, Ministre d'envergure internationale.
La seule décision ou Kamel L. a joué un certain rôle est la nomination de Farhat Rajhi. qui lui-même a limogé les cadres les plus compétents de notre Ministère, aggravant la situation sécuritaire du pays. Farhat R. était une catastrophe et je vous invite à écouter ses discours ou il parle des besoins en bananes de la femme enceinte. Vous êtes un pays de gueux gouverné par des clowns et des traitres. Aucun de vous ne vaut Ben Ali. Depuis la révolution des traitres, Kamel L. est un homme qui s'est auto-neutralisé. Il a trahi Ben Ali, le seul homme qui avait vaincu les islamistes, en oubliant qu'il n'aura jamais la trempe de notre Patron et Président. Vendre de la faïence Chinoise et être entremetteur est le seul avenir de Kamel L. et cela s'il arrive à survivre aux bastonnades que les islamistes libérés par sa propre trahison lui préparent.
Si j'étais Kamel L., je m'installerais en Europe ou ailleurs pour sauver ma peau et celle de ma famille. Le jour où sa maison sera brulée et les fourrures de son épouse volées pour être vendue à la rue Zarkoun n'est plus très loin. Kamel L. comme BCE et les autres chiffes molles qui ont trahi Ben Ali n'étaient que des pieds tendres et des incapables. Leur avenir se trouve à Lampedusa s'ils ne se retrouvent pas très bientôt au Jellaz.
http://www.tunisie-secret.com
F.M. alias JOHN WAYNE
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens
(Avril 1990 au 11 janvier 2011)
Nous empruntons à Business News leur commentateur vedette, que nous avons identifié, pour en faire notre éditorialiste au lance roquette. Les écrits de John Wayne méritent, en effet, de figurer à la une et non pas au bas d’un article, à titre de commentaire. Nous avons sélectionné aujourd’hui pour vous cette "pépite" au sujet de Kamel Eltaïef, dont il faut prendre la fin au second degré.
IL N'A D'INFLUENCE QUE SUR LA GARDE ROBE DE SA FEMME
Business News, le 31/10/2012
Il y a quelque chose de profondément loufoque dans cette affaire. D'abord dire que Kamel Letaïef a une influence sur des hauts cadres du MIT (ministère de l’Intérieur) est risible. Ces cadres du MIT ont certainement répondu aux appels de ce Monsieur sans le prendre vraiment au sérieux. La seule influence que Kamel L. a eu dans sa vie c'est quand il faisait des rapports détaillés sur Ben Ali en compagnie de son compère BCE, aux différents Ambassadeurs Américains qui ont été en poste en Tunisie.
Kamel L. avait une influence négligeable en Tunisie même s'il se croyait important. Ben Ali savait que Kamel L. était un traitre mais il n'a jamais voulu lui nuire par générosité et parce que les deux hommes étaient de la même région. Cette affaire met en relief le chaos dans lequel la Tunisie a plongé. Le niveau de la politique tunisienne d'aujourd'hui vole bas.
Des traitres se querellent pour essayer de s'accaparer un pouvoir qui leur a échappé définitivement le jour où les islamistes ont gagné des élections illégales imposées par l'armée nationale et son sponsor la CIA.
Kamel L. comme BCE, est pris à son propre piège. Certes nous savions que cet homme possédait les numéros de téléphones de nombreux de nos cadres au MIT, mais son influence était au temps de Ben Ali négligeable. Elle l'est d'autant plus depuis la victoire des islamistes Tunisiens que cet homme ne pourra jamais affronter avec sa petite taille, sa voie efféminée, sa Mercedes, et ses téléphones portables.
Et en ancien fonctionnaire de l'Etat Tunisien, laisser-moi vous dire une chose : au MIT, Leila Trabelsi était plus respectée et avait plus d'influence que Kamel L. qui nous a plusieurs fois vendu au journal Le Monde et que nous n'avons pas tabassé car Ben Ali était un homme bon et au-dessus de tout. Ben Ali nous avait demandé d'épargner cette loque et cet opportuniste. Beaucoup de mes collègues en auraient fait un punching ball.
Quand a Rafik Hadj Kacem qui est un héros de cette Tunisie trahie par son peuple, il a été limogé et emprisonné dans le cadre d'un démantèlement des cerveaux de la Tunisie de Ben Ali au même titre que la Debaathification de l'Irak de l'après Saddam Hussein. Kamel L. en courtier du sexe, n'était pas du niveau de Rafik Hadj Kacem, Ministre d'envergure internationale.
La seule décision ou Kamel L. a joué un certain rôle est la nomination de Farhat Rajhi. qui lui-même a limogé les cadres les plus compétents de notre Ministère, aggravant la situation sécuritaire du pays. Farhat R. était une catastrophe et je vous invite à écouter ses discours ou il parle des besoins en bananes de la femme enceinte. Vous êtes un pays de gueux gouverné par des clowns et des traitres. Aucun de vous ne vaut Ben Ali. Depuis la révolution des traitres, Kamel L. est un homme qui s'est auto-neutralisé. Il a trahi Ben Ali, le seul homme qui avait vaincu les islamistes, en oubliant qu'il n'aura jamais la trempe de notre Patron et Président. Vendre de la faïence Chinoise et être entremetteur est le seul avenir de Kamel L. et cela s'il arrive à survivre aux bastonnades que les islamistes libérés par sa propre trahison lui préparent.
Si j'étais Kamel L., je m'installerais en Europe ou ailleurs pour sauver ma peau et celle de ma famille. Le jour où sa maison sera brulée et les fourrures de son épouse volées pour être vendue à la rue Zarkoun n'est plus très loin. Kamel L. comme BCE et les autres chiffes molles qui ont trahi Ben Ali n'étaient que des pieds tendres et des incapables. Leur avenir se trouve à Lampedusa s'ils ne se retrouvent pas très bientôt au Jellaz.
http://www.tunisie-secret.com
F.M. alias JOHN WAYNE
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens
(Avril 1990 au 11 janvier 2011)