Rarement les tunisiens n’ont été autant gâtés par les actualités musulmanes. Après la semaine burlesque et guignolesque où l’on a atteint les sommets du ridicule et de l’absurde avec le spectacle sordide et moyenâgeux du cheveu du prophète qu’Allah se prosterne devant lui et le salue, ils sont conviés du 16 au 18 janvier 2014 à un événement majeur dans l’histoire du monde des ténèbres : la tenue du premier congrès des frères satanistes musulmans.
Les tunisiens doivent ériger une statue à la gloire de leur Raspoutine national, l’enfant bâtard d’Adolph Hitler, le dénommé Rached Ghannouchi. C’est grâce à ses entregents dans les milieux terroristes internationaux que leur pays est consacré en tant que haut lieu du djihad du Grand Effroi musulman.
Un fait unique dans leur histoire qui doit les réjouir de voir la terre d’Hannibal, de la Kahina, de Saint-Augustin, d’Ibn Khaldoun, de Bourguiba, et de tous les « mécréants » qui ont fait l’honneur de la Tunisie investie par les amis de Ben Laden et de Zawahiri. Quel pays au monde pouvait en dire autant ? Aucun sauf la Tunisie qui accueille toutes les sommités musulmanes du nazisme, du collaborationnisme, de la terreur, de la barbarie humaine, de l’antipatriotisme, du racisme, de l’antisémitisme, de la pédophilie, de l’obscurantisme, de la nécrophilie, de la zoophilie, du charlatanisme.
Le pays n’a plus à rougir de sa place de mauvais élève de l’Oumma musulmane. En effet, sous l’impulsion d’Ennahdha, il a fait en 3 ans ce qu’il n’a pas pu faire en 1400 ans, devenir le pays phare du djihad.
Ce congrès est une bonne thérapie pour redonner des couleurs aux tunisiens et flatter leur narcissisme de musulman qui leur fera oublier leur descente aux enfers. Mais qu’importe leur calvaire tant que le soleil de la vie ne brillera plus jamais sur leur pays. C’est pour eux un signe subliminal qu’Allah leur a envoyé pour en faire le moteur de sa Oumma.
Ainsi, il y a tout lieu de croire que c’est la Tunisie qui est choisie pour servir de locomotive au rétablissement du 6ème Reich musulman depuis la liquidation de la Confrérie des enfants de Satan en Egypte, entreprise par un général courageux qui a su répondre à l’aspiration de tout un peuple.
Les tunisiens sont enfin récompensés pour leurs extraordinaires efforts déployés pour le triomphe des couleurs sinistres de la « religion » de la mort en Syrie, Irak, Afghanistan, Algérie, au Mali. Partout où l’islam avait besoin de combattants djihadistes et sœurs de confort sexuel, ils ont su répondre présent au préjudice de la réputation de leur pays, qui est passé du pays de la paix, de la modernité et de la douceur de vivre au pays de l’insécurité, du salafisme et de l’obscurantisme. De premier pays arabe ayant instauré le code du statut personnel, nous sommes devenus le premier pays exportateur de terroristes.
Tant qu’ils ont la joie de l’ivresse de l’islam, ils ne vont pas s’en priver. Cyniques, masochistes et antipatriotes, ils n’ont pas à se préoccuper de la dégradation de l’image de leur pays devant la satisfaction des exigences du cahier de charges que chaque musulman doit respecter s’il ne veut pas finir dans les bûchers ardents de l’enfer.
Gageons que les tunisiennes et les tunisiens payeront de leur personne au propre comme au figuré pour faire de ce congrès un congrès d’anthologie de la honte humaine.
Salem Ben Ammar
Les tunisiens doivent ériger une statue à la gloire de leur Raspoutine national, l’enfant bâtard d’Adolph Hitler, le dénommé Rached Ghannouchi. C’est grâce à ses entregents dans les milieux terroristes internationaux que leur pays est consacré en tant que haut lieu du djihad du Grand Effroi musulman.
Un fait unique dans leur histoire qui doit les réjouir de voir la terre d’Hannibal, de la Kahina, de Saint-Augustin, d’Ibn Khaldoun, de Bourguiba, et de tous les « mécréants » qui ont fait l’honneur de la Tunisie investie par les amis de Ben Laden et de Zawahiri. Quel pays au monde pouvait en dire autant ? Aucun sauf la Tunisie qui accueille toutes les sommités musulmanes du nazisme, du collaborationnisme, de la terreur, de la barbarie humaine, de l’antipatriotisme, du racisme, de l’antisémitisme, de la pédophilie, de l’obscurantisme, de la nécrophilie, de la zoophilie, du charlatanisme.
Le pays n’a plus à rougir de sa place de mauvais élève de l’Oumma musulmane. En effet, sous l’impulsion d’Ennahdha, il a fait en 3 ans ce qu’il n’a pas pu faire en 1400 ans, devenir le pays phare du djihad.
Ce congrès est une bonne thérapie pour redonner des couleurs aux tunisiens et flatter leur narcissisme de musulman qui leur fera oublier leur descente aux enfers. Mais qu’importe leur calvaire tant que le soleil de la vie ne brillera plus jamais sur leur pays. C’est pour eux un signe subliminal qu’Allah leur a envoyé pour en faire le moteur de sa Oumma.
Ainsi, il y a tout lieu de croire que c’est la Tunisie qui est choisie pour servir de locomotive au rétablissement du 6ème Reich musulman depuis la liquidation de la Confrérie des enfants de Satan en Egypte, entreprise par un général courageux qui a su répondre à l’aspiration de tout un peuple.
Les tunisiens sont enfin récompensés pour leurs extraordinaires efforts déployés pour le triomphe des couleurs sinistres de la « religion » de la mort en Syrie, Irak, Afghanistan, Algérie, au Mali. Partout où l’islam avait besoin de combattants djihadistes et sœurs de confort sexuel, ils ont su répondre présent au préjudice de la réputation de leur pays, qui est passé du pays de la paix, de la modernité et de la douceur de vivre au pays de l’insécurité, du salafisme et de l’obscurantisme. De premier pays arabe ayant instauré le code du statut personnel, nous sommes devenus le premier pays exportateur de terroristes.
Tant qu’ils ont la joie de l’ivresse de l’islam, ils ne vont pas s’en priver. Cyniques, masochistes et antipatriotes, ils n’ont pas à se préoccuper de la dégradation de l’image de leur pays devant la satisfaction des exigences du cahier de charges que chaque musulman doit respecter s’il ne veut pas finir dans les bûchers ardents de l’enfer.
Gageons que les tunisiennes et les tunisiens payeront de leur personne au propre comme au figuré pour faire de ce congrès un congrès d’anthologie de la honte humaine.
Salem Ben Ammar