« Nous sommes capables d’employer la force en frappant fort et d’un seul coup. Nous n’avons aucun problème sur ce plan là et nous en avons la force et les moyens. Mais nous disons qu’il vaut mieux traiter de manière plus calme ».
« Même chose pour la drogue. Et je l’ai dit aux Tunisiens : qui finance les terroristes de Djebel Chaambi, si ce n’est les narcotrafiquants. C’est bien connu et nous avons des preuves incontestables. Et c’est la même chose en Libye et ailleurs. Ce n’est pas une solution, non ce n’est pas du tout une solution. En tout cas, l’essentiel pour nous c’est de veiller à la sécurité de notre société et je rappelle que nous œuvrons pour le bien et non pas pour le mal ».
Depuis l’époque de Hassan II, c’est un secret de polichinelle que la culture et le trafic de drogue constitue un secteur important de l’économie parallèle marocaine. Tout le monde savait que le moyen Atlas était un immense champ pour la culture du pavot. Mais que les narcotrafiquants et les islamo-terroristes soient dans une alliance stratégique, cela est nouveau dans la région. Nouveau mais pas inédit. Outre le soutien financier du Qatar et de l’Arabie Saoudite, c’est par la production du cannabis et de l’héroïne que les talibans et Al-Qaïda ont pu mener la guerre contre l’URSS, puis contre le peuple Afghans.
Les arabo-islamistes n’ont aucun scrupule à mener le djihad avec l’argent sale de la drogue d’autant plus que ce trafic permet aussi de détruire l’Occident de l’intérieur. Ils sont gagnants à triple titre : ils s’enrichissent, ils mènent le djihad au nom d’Allah, et ils empoisonnent la jeunesse occidentale.
Pour le Qatar, c’est le Frère musulman Hamad Ben Jassim al-Thani, le harki d’Israël et de l’Amérique, aujourd’hui caché quelque part en Europe, qui finançait le terrorisme islamiste, y compris Al Qaïda, au Maghreb, en Orient et en Afrique. Avec le pachyderme qatari tombé en disgrâce comme lui, il est le principal accusé de crimes contre l’Humanité en Syrie.
Pour l’Arabie Saoudite, c’est bandar Ben Sultan Ben Abdelaziz al-Saoud qui soutient et finance les réseaux terroristes islamistes dans le monde. L’ancien directeur du renseignement intérieur français, Bernard Squarcini, l’a confirmé dans le livre qu’il vient de publier, « Renseignements français : les nouveaux enjeux ». Bernard Squarcini dévoile les coulisses de la politique française en Syrie et son alliance avec l’Arabie Saoudite et le Qatar, qui soutiennent des groupes armés. Il avoue son inquiétude sur le retour de milliers de djihadistes européens partis combattre en Syrie et assure que Bandar ben Sultan est derrière le financement des groupes « djihadistes » en Afghanistan, en Syrie, au Liban, en Egypte et en Afrique du nord.
« Même chose pour la drogue. Et je l’ai dit aux Tunisiens : qui finance les terroristes de Djebel Chaambi, si ce n’est les narcotrafiquants. C’est bien connu et nous avons des preuves incontestables. Et c’est la même chose en Libye et ailleurs. Ce n’est pas une solution, non ce n’est pas du tout une solution. En tout cas, l’essentiel pour nous c’est de veiller à la sécurité de notre société et je rappelle que nous œuvrons pour le bien et non pas pour le mal ».
Depuis l’époque de Hassan II, c’est un secret de polichinelle que la culture et le trafic de drogue constitue un secteur important de l’économie parallèle marocaine. Tout le monde savait que le moyen Atlas était un immense champ pour la culture du pavot. Mais que les narcotrafiquants et les islamo-terroristes soient dans une alliance stratégique, cela est nouveau dans la région. Nouveau mais pas inédit. Outre le soutien financier du Qatar et de l’Arabie Saoudite, c’est par la production du cannabis et de l’héroïne que les talibans et Al-Qaïda ont pu mener la guerre contre l’URSS, puis contre le peuple Afghans.
Les arabo-islamistes n’ont aucun scrupule à mener le djihad avec l’argent sale de la drogue d’autant plus que ce trafic permet aussi de détruire l’Occident de l’intérieur. Ils sont gagnants à triple titre : ils s’enrichissent, ils mènent le djihad au nom d’Allah, et ils empoisonnent la jeunesse occidentale.
Pour le Qatar, c’est le Frère musulman Hamad Ben Jassim al-Thani, le harki d’Israël et de l’Amérique, aujourd’hui caché quelque part en Europe, qui finançait le terrorisme islamiste, y compris Al Qaïda, au Maghreb, en Orient et en Afrique. Avec le pachyderme qatari tombé en disgrâce comme lui, il est le principal accusé de crimes contre l’Humanité en Syrie.
Pour l’Arabie Saoudite, c’est bandar Ben Sultan Ben Abdelaziz al-Saoud qui soutient et finance les réseaux terroristes islamistes dans le monde. L’ancien directeur du renseignement intérieur français, Bernard Squarcini, l’a confirmé dans le livre qu’il vient de publier, « Renseignements français : les nouveaux enjeux ». Bernard Squarcini dévoile les coulisses de la politique française en Syrie et son alliance avec l’Arabie Saoudite et le Qatar, qui soutiennent des groupes armés. Il avoue son inquiétude sur le retour de milliers de djihadistes européens partis combattre en Syrie et assure que Bandar ben Sultan est derrière le financement des groupes « djihadistes » en Afghanistan, en Syrie, au Liban, en Egypte et en Afrique du nord.
Lilia Ben Rejeb