En effet, le Prophète n’a jamais manqué de son vivant de mettre en garde les croyants contre les immodérés de la religion, incompatibles avec l’esprit pondéré de son Message. De même qu’il est clairement stipulé aux musulmans qu’il n’y aura plus d’autre transmetteur du Message après le Prophète. Or, en laissant les islamistes s’autoproclamer guides vénérés et porte-paroles de l’Islam, les musulmans se comportent comme des infidèles au Message. Ni nouveaux messagers, ni nouveaux transmetteurs, seul guide pour les Musulmans est le Coran comme l’a enseigné le Prophète, dont les islamistes sont les véritables ennemis.
Toutes les mises en garde du prophète sont restées lettre morte. Ainsi, les musulmans ont laissé la porte ouverte à la contamination du Message prophétique par l’islamisme idéologique ; une idéologie sectaire et schismatique. La gangrène islamiste corrompt le corps musulman à tout va et en toute impunité sans que cela ne suscite la moindre campagne d’éradication de ce fléau vénérien. Au lieu de mettre en quarantaine la pandémie mortelle qui frappe les sociétés musulmanes propagée par une foultitude d’agents propagandistes sous les ordres du philo-nazi et antisémite patenté le psychopathe Al Qaradhaoui, affilié à l’internationale terroriste, les musulmans ont fait le choix criminel de laisser les islamistes s’ériger en maîtres de l’échiquier politique et spirituel de leurs pays. Forts de l’adhésion implicite et explicite à leur idéologie scélérate, les islamistes ont les coudées franches pour s’adonner à leur politique de dévoiement et d’instrumentalisation pour assouvir leurs desseins hégémoniques sur les sociétés musulmanes.
Sans même s’en rendre compte, les musulmans prennent un chemin qui va les conduire tout droit dans les limbes de l’histoire. Qu’ont-ils fait du legs du Prophète ? Savent-ils au moins que Mohamed n’a pas désigné de légataire testamentaire attitré ? Du fait qu’il avait fait de l’ensemble des musulmans sans exclusive ses vrais et authentiques légataires. Comment peut-on se résoudre à accepter qu’un terroriste comme Rasched Ghannouchi se proclame l’élu d’Allah (habib Allah) sans que cela ne heurte et n’émeuve la conscience musulmane ?
Paradoxalement, les musulmans se gardent de réagir aux offenses faites par les islamistes à la religion et ce sont ceux-là mêmes qui l’offensent et de la manière la plus ignoble. Comme si rehausser le ton et condamner les tentatives de subversion de l’Islam par l’islamisme est une apostasie, alors que l'apostasie est leur silence complice face aux actes de profanation de l’Islam commis par les cavaliers noirs de l’Apocalypse.
Ce sont les musulmans eux-mêmes qui font le lit de l’islamisme et du terrorisme. Il n’y a pas meilleurs alliés des islamistes aujourd’hui que la majorité silencieuse musulmane, ou ceux qui apportent de l'eau au moulin nauséabond et pollué des islamistes en s’installant dans une posture anti-musulmane, oubliant que l'imposture musulmane des islamistes, à la solde des ennemis des peuples musulmans, prospère sur la stigmatisation de l’Islam.
De toute évidence, si l’on ne veut pas que l’islamisme continu à répandre son poison, il faut lui couper l’herbe sous les pieds et cesser d’alimenter son fonds de commerce. Il n’y a pas de bonne ou mauvaise religion, il y a la dimension spirituelle qui s’y attache, qui exige respect et considération.
Nul n’est en droit de se livrer à des critiques infondées et éhontées qui ne font que radicaliser et froisser les croyants. C’est pourquoi, il convient de rappeler aux pseudos modernistes et libéraux de tout poil, les dénigreurs et pourfendeurs de l’Islam qu’ils sont les vrais alliés objectifs des islamistes.
Salem Ben Ammar
Toutes les mises en garde du prophète sont restées lettre morte. Ainsi, les musulmans ont laissé la porte ouverte à la contamination du Message prophétique par l’islamisme idéologique ; une idéologie sectaire et schismatique. La gangrène islamiste corrompt le corps musulman à tout va et en toute impunité sans que cela ne suscite la moindre campagne d’éradication de ce fléau vénérien. Au lieu de mettre en quarantaine la pandémie mortelle qui frappe les sociétés musulmanes propagée par une foultitude d’agents propagandistes sous les ordres du philo-nazi et antisémite patenté le psychopathe Al Qaradhaoui, affilié à l’internationale terroriste, les musulmans ont fait le choix criminel de laisser les islamistes s’ériger en maîtres de l’échiquier politique et spirituel de leurs pays. Forts de l’adhésion implicite et explicite à leur idéologie scélérate, les islamistes ont les coudées franches pour s’adonner à leur politique de dévoiement et d’instrumentalisation pour assouvir leurs desseins hégémoniques sur les sociétés musulmanes.
Sans même s’en rendre compte, les musulmans prennent un chemin qui va les conduire tout droit dans les limbes de l’histoire. Qu’ont-ils fait du legs du Prophète ? Savent-ils au moins que Mohamed n’a pas désigné de légataire testamentaire attitré ? Du fait qu’il avait fait de l’ensemble des musulmans sans exclusive ses vrais et authentiques légataires. Comment peut-on se résoudre à accepter qu’un terroriste comme Rasched Ghannouchi se proclame l’élu d’Allah (habib Allah) sans que cela ne heurte et n’émeuve la conscience musulmane ?
Paradoxalement, les musulmans se gardent de réagir aux offenses faites par les islamistes à la religion et ce sont ceux-là mêmes qui l’offensent et de la manière la plus ignoble. Comme si rehausser le ton et condamner les tentatives de subversion de l’Islam par l’islamisme est une apostasie, alors que l'apostasie est leur silence complice face aux actes de profanation de l’Islam commis par les cavaliers noirs de l’Apocalypse.
Ce sont les musulmans eux-mêmes qui font le lit de l’islamisme et du terrorisme. Il n’y a pas meilleurs alliés des islamistes aujourd’hui que la majorité silencieuse musulmane, ou ceux qui apportent de l'eau au moulin nauséabond et pollué des islamistes en s’installant dans une posture anti-musulmane, oubliant que l'imposture musulmane des islamistes, à la solde des ennemis des peuples musulmans, prospère sur la stigmatisation de l’Islam.
De toute évidence, si l’on ne veut pas que l’islamisme continu à répandre son poison, il faut lui couper l’herbe sous les pieds et cesser d’alimenter son fonds de commerce. Il n’y a pas de bonne ou mauvaise religion, il y a la dimension spirituelle qui s’y attache, qui exige respect et considération.
Nul n’est en droit de se livrer à des critiques infondées et éhontées qui ne font que radicaliser et froisser les croyants. C’est pourquoi, il convient de rappeler aux pseudos modernistes et libéraux de tout poil, les dénigreurs et pourfendeurs de l’Islam qu’ils sont les vrais alliés objectifs des islamistes.
Salem Ben Ammar