Barack Hussein Obama, le président le plus nul des Etats-Unis. Jusqu'à présent, le record de la bétise était détenu par son prédécesseur George W.Bush.
Jim Clapper, le directeur du renseignement national, «a reconnu qu'ils (les experts) avaient sous-estimé ce qui se passait en Syrie», a déclaré Barack Hussein Obama dans son interview à CBS. En d’autres termes, ce n’est pas moi, c’est lui ! Curieuse manière d’assumer ses responsabilités et de reconnaitre ses erreurs.
Barack Hussein Obama a raconté qu’«En fait, ce qui s'est passé avec l'Etat Islamique, c'est que vous aviez Al-Qaida en Irak, un groupe très violent, mais que nos Marines ont réussi à asphyxier avec l'aide de tribus sunnites (…)Mais au cours des deux dernières années, dans le chaos de la guerre civile syrienne, où vous aviez essentiellement des pans entiers du pays qui échappaient totalement au contrôle du gouvernement, ils ont pu se reconstituer et profiter de ce chaos». Puis, le groupe a réussi «à attirer des combattants étrangers qui ont cru en leurs bêtises». Et la Syrie est devenue le «Ground Zero pour les djihadistes à travers le monde».
Déjà en août 2014, le président le plus nul des Etats-Unis avait reconnu que l'avancée spectaculaire des djihadistes a été plus rapide que les estimations faites par les services de renseignement et la plupart des responsables politiques de la région. Dimanche dernier, il a de nouveau admis que les États-Unis ont surestimé la capacité de l'armée irakienne à repousser le groupe terroriste. Il a aussi reproché aux anciens militaires irakiens - qui ont été radiés de l'armée irakienne après la chute de Saddam Hussein – d’avoir prêté main forte au groupe terroriste.
Ce n’est qu’à la suite des décapitations de James Foley et Steven Sotloff par les barbares de l'EI, que Barack Hussein Obama s’est trouvé obligé d’annoncer un « plan stratégique anti-terroriste » : il décide début septembre de former une coalition internationale pour repousser la menace terroriste et étendre les raids à la Syrie. «Il est important pour nous de reconnaître qu'une partie de la solution est militaire», a encore déclaré Obama sur CBS. «Nous avons juste à les repousser, à réduire leur espace, s'attaquer à leur commandement et leur capacité d'armement. Nous devons couper leurs capacités de ravitaillement ainsi que leur source de financement, tout en éliminant le flux des combattants étrangers», a détaillé Barack Hussein Obama tout en rappelant que les solutions devaient être politiques, surtout en Irak et en Syrie.
Barack Hussein Obama n’a pas dit un mot sur certaines monarchies du Golfe qui soutenaient et finançaient les barbares de l’EI, comme elles soutenaient auparavant Al-Qaïda et le Front al-Nosra. Ses services de renseignement, aussi nuls que lui, n’ont pas dû lui dire que sans les millions de dollars de l’Etat-voyou du Qatar, toutes ces organisations islamo-terroristes n’auraient pas le poids qu’elles ont aujourd’hui.
Lilia Ben Rejeb
Barack Hussein Obama a raconté qu’«En fait, ce qui s'est passé avec l'Etat Islamique, c'est que vous aviez Al-Qaida en Irak, un groupe très violent, mais que nos Marines ont réussi à asphyxier avec l'aide de tribus sunnites (…)Mais au cours des deux dernières années, dans le chaos de la guerre civile syrienne, où vous aviez essentiellement des pans entiers du pays qui échappaient totalement au contrôle du gouvernement, ils ont pu se reconstituer et profiter de ce chaos». Puis, le groupe a réussi «à attirer des combattants étrangers qui ont cru en leurs bêtises». Et la Syrie est devenue le «Ground Zero pour les djihadistes à travers le monde».
Déjà en août 2014, le président le plus nul des Etats-Unis avait reconnu que l'avancée spectaculaire des djihadistes a été plus rapide que les estimations faites par les services de renseignement et la plupart des responsables politiques de la région. Dimanche dernier, il a de nouveau admis que les États-Unis ont surestimé la capacité de l'armée irakienne à repousser le groupe terroriste. Il a aussi reproché aux anciens militaires irakiens - qui ont été radiés de l'armée irakienne après la chute de Saddam Hussein – d’avoir prêté main forte au groupe terroriste.
Ce n’est qu’à la suite des décapitations de James Foley et Steven Sotloff par les barbares de l'EI, que Barack Hussein Obama s’est trouvé obligé d’annoncer un « plan stratégique anti-terroriste » : il décide début septembre de former une coalition internationale pour repousser la menace terroriste et étendre les raids à la Syrie. «Il est important pour nous de reconnaître qu'une partie de la solution est militaire», a encore déclaré Obama sur CBS. «Nous avons juste à les repousser, à réduire leur espace, s'attaquer à leur commandement et leur capacité d'armement. Nous devons couper leurs capacités de ravitaillement ainsi que leur source de financement, tout en éliminant le flux des combattants étrangers», a détaillé Barack Hussein Obama tout en rappelant que les solutions devaient être politiques, surtout en Irak et en Syrie.
Barack Hussein Obama n’a pas dit un mot sur certaines monarchies du Golfe qui soutenaient et finançaient les barbares de l’EI, comme elles soutenaient auparavant Al-Qaïda et le Front al-Nosra. Ses services de renseignement, aussi nuls que lui, n’ont pas dû lui dire que sans les millions de dollars de l’Etat-voyou du Qatar, toutes ces organisations islamo-terroristes n’auraient pas le poids qu’elles ont aujourd’hui.
Lilia Ben Rejeb