Invité par Radio J dimanche 6 mars, le député socialiste de la 10ème circonscription de l’Essonne, Malek Boutih, a accusé la gauche d’avoir abandonné les banlieues aux djihadistes. Pas étonnant de la part de l’électron libre de la molécule PS. 
   
Selon Malek Boutih, « La gauche a abandonné les banlieues aux djihadistes. Elle porte une grande responsabilité », en ajoutant que « Si on est Français, on est contre les islamistes ». M.Boutih aurait pu préciser que la gauche, comme auparavant la droite, a abandonné les banlieues aux « républicains » et très « laïcs » émirs du Qatar !
   
L’ancien président de SOS Racisme, de 1999 à 2003 a estime qu’« Il faut se débarrasser des nouveaux SS, les islamo-nazis. Il faut arrêter de trouver des explications à leurs actes ». « C’est un peu comme si on avait expliqué que les gars qui étaient membres des SS avaient eu des problèmes sociaux dans leur jeunesse », a ironisé Malek Boutih.
   
Il a précisé que « Ce ne sont pas des gens qui combattent pour une cause. Ce sont des gens qui se battent pour la mort, qui aiment la mort et qui sont drogués à la mort ».
   
Commentant le débat sur déchéance de la nationalité, Malek Boutih a indiqué que « Le mot nazi, je ne l’ai pas employé pour faire une certaine forme d’exagération, je l’ai employé car le projet des islamistes est similaire à celui des nazis. Ces gens-là n’ont que faire du débat sur la déchéance de la nationalité, ils n’hésiteront pas à détruire notre pays ».
   
Ce n‘est pas la première fois que Malek Boutih utilisait l’expression « islamo-nazi », que notre collaborateur, le tunisien Salem Ben Ammar emploie d’ailleurs depuis 2011. M.Boutih, qui a rompu avec la langue de bois socialiste, tenait depuis quelque temps des propos iconoclastes semblables. Dans une interview accordée au Point, le 13 janvier 2015, il déclarait que « Des élus locaux corrompus ont pactisés avec les gangsters et les islamo- nazis ».
   
En 2015, dans l’émotion et l’indignation collectives provoquées par les attentats islamistes, Manuel Valls a chargé Malek Boutih de lui remettre un rapport sur la radicalisation de la jeunesse française. Présenté le 6 juillet 2015, ce rapport sobrement intitulé «Génération radicalisée » (1), a été aussi vite enterré. Il n‘était pas politiquement correct et encore moins « socialistement » compatible !
            
Lilia Ben Rejeb
   
Nos lecteurs peuvent télécharger ce rapport sur ce lien :
   
http://www.boutih.fr/wp-content/uploads/2015/07/G%C3%A9n%C3%A9ration-radicale.pdf
			 Selon Malek Boutih, « La gauche a abandonné les banlieues aux djihadistes. Elle porte une grande responsabilité », en ajoutant que « Si on est Français, on est contre les islamistes ». M.Boutih aurait pu préciser que la gauche, comme auparavant la droite, a abandonné les banlieues aux « républicains » et très « laïcs » émirs du Qatar !
L’ancien président de SOS Racisme, de 1999 à 2003 a estime qu’« Il faut se débarrasser des nouveaux SS, les islamo-nazis. Il faut arrêter de trouver des explications à leurs actes ». « C’est un peu comme si on avait expliqué que les gars qui étaient membres des SS avaient eu des problèmes sociaux dans leur jeunesse », a ironisé Malek Boutih.
Il a précisé que « Ce ne sont pas des gens qui combattent pour une cause. Ce sont des gens qui se battent pour la mort, qui aiment la mort et qui sont drogués à la mort ».
Commentant le débat sur déchéance de la nationalité, Malek Boutih a indiqué que « Le mot nazi, je ne l’ai pas employé pour faire une certaine forme d’exagération, je l’ai employé car le projet des islamistes est similaire à celui des nazis. Ces gens-là n’ont que faire du débat sur la déchéance de la nationalité, ils n’hésiteront pas à détruire notre pays ».
Ce n‘est pas la première fois que Malek Boutih utilisait l’expression « islamo-nazi », que notre collaborateur, le tunisien Salem Ben Ammar emploie d’ailleurs depuis 2011. M.Boutih, qui a rompu avec la langue de bois socialiste, tenait depuis quelque temps des propos iconoclastes semblables. Dans une interview accordée au Point, le 13 janvier 2015, il déclarait que « Des élus locaux corrompus ont pactisés avec les gangsters et les islamo- nazis ».
En 2015, dans l’émotion et l’indignation collectives provoquées par les attentats islamistes, Manuel Valls a chargé Malek Boutih de lui remettre un rapport sur la radicalisation de la jeunesse française. Présenté le 6 juillet 2015, ce rapport sobrement intitulé «Génération radicalisée » (1), a été aussi vite enterré. Il n‘était pas politiquement correct et encore moins « socialistement » compatible !
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			  Malek Boutih dénonce les « islamo-nazis »
 
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 Bouazizi et la clochardisation de la Tunisie. 10 ans après, la véritable histoire de la révolution du jasmin
 
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