Ce Frère musulman aurait tout fait et tout donné pour rester au pouvoir. Dernière affaire en date, la livraison de documents relevant du secret défense à l’émirat du Qatar, qui est l’excroissance islamiste de l’Etat sioniste.
Ce sont nos confrères du Huffington Post qui ont révélé l’affaire le 29 août 2014, en reprenant une dépêche de Mena, l’agence de presse égyptienne. Une enquête a été ouverte visant « le président islamiste destitué par l'armée, Mohamed Morsi, pour la livraison au Qatar de documents relevant de la sécurité nationale de l'Egypte », a indiqué, mercredi 27 août 2014, l'agence de presse officielle Mena.
Selon le Huffington Post, qui parait sensible au malheur qui frappe les Frères musulmans, « M. Morsi encourt déjà la peine de mort dans plusieurs procès et depuis sa destitution et son arrestation par les militaires en juillet 2013, ses partisans sont la cible d'une sanglante répression de la part des autorités qui a fait plus de 1.400 morts. »
M. Morsi « est accusé d'avoir livré au Qatar via la chaîne qatarie Al-Jazeera des documents relevant de la sécurité nationale égyptienne au moment où il occupait le poste de président de la république (...), portant atteinte à la sécurité nationale du pays », a indiqué l'agence Mena.
Pour le Huffington Post, « Les autorités sont régulièrement accusées d'utiliser la justice comme outil de répression contre les partisans de M. Morsi. Outre l'ex-président islamiste, la quasi-totalité des dirigeants de sa confrérie des Frères Musulmans sont derrière les barreaux et encourent la peine de mort. Plus de 15.000 manifestants pro-Morsi ont également été emprisonnés tandis que des centaines ont été condamnés à mort dans des procès de masse expéditifs qui ont provoqué un tollé international. »
Nos confrères omettent de préciser que le général Abdel fattah al-Sissi n’aurait jamais réussi un tel retournement de situation sans le soulèvement des Egyptiens contre la canaille des Frères musulmans. Ces derniers, qui avaient fait de la « Cause palestinienne » leur cheval de bataille et de propagande et qui avaient fomenté l’assassinat de Sadate en octobre 1981, à cause des accords de Camp David, n’ont pas jugé utile de remettre en cause ce traité entre l’Egypte et Israël. Et pour cause : ce n’était pas dans le pacte islamo-atlantiste du « printemps arabe » !
Plus grave encore que cette affaire de documents sensibles transmis à Qatraël, Mohamed Morsi était sur le point d’exécuter un plan machiavélique, qui aurait fait de Barack Hussein Obama le président le plus « stratège » et le plus « courageux » que l’Amérique n’a jamais connu : offrir au gouvernement terroriste et usurpateur du Hamas à Gaza 40% du territoire égyptien, c’est-à-dire 25 000 Km2 du Sinaï. C’est de cette façon que les Etats-Unis, Israël, le Qatar, la Turquie, les Frères musulmans d’Egypte et les imposteurs du Hamas comptaient régler définitivement le conflit israélo-arabe. Dès novembre 2013, nous avons été, avec la presse égyptienne, les premiers à dévoiler cette affaire (voir lien ci-dessous).
Et ce plan machiavélique aurait arrangé Barack Hussein Obama, Benyamin Netanyahou, Recep Tayyip Erdogan et Hamad Ben Khalifa. Israël n’aurait plus été embêté pour la question des territoires occupés et pour le problème pas moins épineux des réfugiés Palestiniens, l’état ou l’entité islamiste de Gaza aurait triplée sa superficie, l’Autorité légitime palestinienne de Ramallah aurait été évincée, et le sacro-saint Etat palestinien aurait été fondé sur les décombres d’une Egypte dépecée.
Tout ce projet est devenu « caduc », comme aurait dit Yasser Arafat. Grace au réveil patriotique du peuple égyptien et au sursaut nasseriste de l’armée égyptienne.
Nebil Ben Yahmed
Lien de notre article publié en novembre 2013 :
http://www.tunisie-secret.com/Explosif-Mahmoud-Abbas-confirme-le-pacte-entre-Morsi-Obama-et-Netanyahou-sur-le-Sinai-video_a725.html
Ce sont nos confrères du Huffington Post qui ont révélé l’affaire le 29 août 2014, en reprenant une dépêche de Mena, l’agence de presse égyptienne. Une enquête a été ouverte visant « le président islamiste destitué par l'armée, Mohamed Morsi, pour la livraison au Qatar de documents relevant de la sécurité nationale de l'Egypte », a indiqué, mercredi 27 août 2014, l'agence de presse officielle Mena.
Selon le Huffington Post, qui parait sensible au malheur qui frappe les Frères musulmans, « M. Morsi encourt déjà la peine de mort dans plusieurs procès et depuis sa destitution et son arrestation par les militaires en juillet 2013, ses partisans sont la cible d'une sanglante répression de la part des autorités qui a fait plus de 1.400 morts. »
M. Morsi « est accusé d'avoir livré au Qatar via la chaîne qatarie Al-Jazeera des documents relevant de la sécurité nationale égyptienne au moment où il occupait le poste de président de la république (...), portant atteinte à la sécurité nationale du pays », a indiqué l'agence Mena.
Pour le Huffington Post, « Les autorités sont régulièrement accusées d'utiliser la justice comme outil de répression contre les partisans de M. Morsi. Outre l'ex-président islamiste, la quasi-totalité des dirigeants de sa confrérie des Frères Musulmans sont derrière les barreaux et encourent la peine de mort. Plus de 15.000 manifestants pro-Morsi ont également été emprisonnés tandis que des centaines ont été condamnés à mort dans des procès de masse expéditifs qui ont provoqué un tollé international. »
Nos confrères omettent de préciser que le général Abdel fattah al-Sissi n’aurait jamais réussi un tel retournement de situation sans le soulèvement des Egyptiens contre la canaille des Frères musulmans. Ces derniers, qui avaient fait de la « Cause palestinienne » leur cheval de bataille et de propagande et qui avaient fomenté l’assassinat de Sadate en octobre 1981, à cause des accords de Camp David, n’ont pas jugé utile de remettre en cause ce traité entre l’Egypte et Israël. Et pour cause : ce n’était pas dans le pacte islamo-atlantiste du « printemps arabe » !
Plus grave encore que cette affaire de documents sensibles transmis à Qatraël, Mohamed Morsi était sur le point d’exécuter un plan machiavélique, qui aurait fait de Barack Hussein Obama le président le plus « stratège » et le plus « courageux » que l’Amérique n’a jamais connu : offrir au gouvernement terroriste et usurpateur du Hamas à Gaza 40% du territoire égyptien, c’est-à-dire 25 000 Km2 du Sinaï. C’est de cette façon que les Etats-Unis, Israël, le Qatar, la Turquie, les Frères musulmans d’Egypte et les imposteurs du Hamas comptaient régler définitivement le conflit israélo-arabe. Dès novembre 2013, nous avons été, avec la presse égyptienne, les premiers à dévoiler cette affaire (voir lien ci-dessous).
Et ce plan machiavélique aurait arrangé Barack Hussein Obama, Benyamin Netanyahou, Recep Tayyip Erdogan et Hamad Ben Khalifa. Israël n’aurait plus été embêté pour la question des territoires occupés et pour le problème pas moins épineux des réfugiés Palestiniens, l’état ou l’entité islamiste de Gaza aurait triplée sa superficie, l’Autorité légitime palestinienne de Ramallah aurait été évincée, et le sacro-saint Etat palestinien aurait été fondé sur les décombres d’une Egypte dépecée.
Tout ce projet est devenu « caduc », comme aurait dit Yasser Arafat. Grace au réveil patriotique du peuple égyptien et au sursaut nasseriste de l’armée égyptienne.
Nebil Ben Yahmed
Lien de notre article publié en novembre 2013 :
http://www.tunisie-secret.com/Explosif-Mahmoud-Abbas-confirme-le-pacte-entre-Morsi-Obama-et-Netanyahou-sur-le-Sinai-video_a725.html