Dans sa première réaction à l’attaque terroriste du Bardo, Moncef Marzouki, qui ne s’est pas encore remis de sa défaite cuisante, a commencé par présenter ses condoléances aux familles des victimes en appelant à « l’unité nationale ». Cela sonne faux de la part du mercenaire No 1 du Qatar qui a tout fait pour diviser les Tunisiens et les opposer les uns aux autres. Celui qui a surfé sur le régionalisme et le clanisme, lors de sa campagne électorale, est très mal placé pour parler d’unité nationale.
L’ex Tartour national a par la suite déclaré : « Je veux d’abord rappeler que la première action terroriste en Tunisie a été en 2006, à l’époque du déchu, et que les causes de cette action étaient profondes et ancrées dans la société, à savoir la corruption, l’ignorance et l’éradication des forces islamistes modérées ». Volontairement, cet imposteur a occulté la plus grande opération terroriste qui a visé la Tunisie en avril 2002. C’était l’attaque d’Al-Qaïda contre la synagogue de Djerba qui avait fait 19 morts, tous des touristes allemands. Il a aussi occulté les attentats du 3 août 1987, à l’époque de Bourguiba, contre des hôtels à Sousse et à Monastir et dont les auteurs étaient ses amis d’Ennahdha, plus exactement Hammadi Jebali.
Dans un élan auto-glorificateur, le mercenaire No1 du Qatar a affirmé que « de toute son histoire, jamais l’armée tunisienne n’avait connu un soutien matériel aussi important que durant les trois années de la troïka. Les forces de l’ordre aussi. C’est pendant la période de la troïka qu’a été lancée une stratégie de lutte contre le terrorisme. Le gouvernement actuel doit continuer dans cette voie… ».
Bien au contraire, c’est pendant la présidence illégitime de Marzouki, qui restera dans l’histoire comme la période la plus sombre et la plus décadente que la Tunisie n’a jamais connue, que le terrorisme a prospéré, que le djihadisme s’est métastasé et que le plus grand nombre de militaires et de gendarmes ont été massacrés. Est-il besoin de rappeler que c’est durant cette époque sombre que Rached Ghannouchi et Moncef Marzouki ont lâchement exécuté les ordres du Qatar en laissant partir les jeunes Tunisiens en Syrie ? Est-il besoin de rappeler à ce traître que c’est pendant sa présidence usurpée que les salafistes sont sortis de leur tanière pour intimider les universitaires et les artistes, et dominer les rues ? Est-il besoin de rappeler à ce mégalomane que c’est à la même époque que des prêcheurs orientaux d’un autre âge ont été invité en Tunisie pour enseigner à son peuple le « vrai islam » ? Est-il besoin de lui rappeler que c’est lui qui a vidé les prisons tunisiennes de ses criminels et terroristes ? Et bien d’autres crimes encore pour lesquels il devrait être jugé plutôt que de bénéficier d’une retraite de 28000 dinars, alors que le peuple crève de faim.
Ce mercenaire qui tente en vain de porter le costume de Mandela a terminé son discours en disant que « Notre victoire sur le terrorisme doit être sécuritaire, militaire, politique, culturel et surtout morale. Je veux dire par là que la lutte contre le terrorisme ne doit en aucune manière être l’occasion pour porter atteinte aux droits de l’homme et aux libertés individuelles et collectives. On peut lutter contre le terrorisme en respectant les droits de l’homme… ».
Par cette démagogie bien huilée, le mercenaire No1 du Qatar a voulu répondre à la déclaration du président Béji Caïd Essebsi, qui a promis que « la guerre contre ces terroristes sera impitoyable jusqu’à leur éradication totale ». Rejeté par les électeurs Tunisiens comme un vulgaire mercenaire du Qatar et des Etats-Unis, et comme un esclave des Frères musulmans, Marzouki tente ainsi de se parer du déguisement des droits de l’homme pour montrer sa différence avec l’actuel président démocratiquement élu, qui pourrai selon lui, faire comme Ben Ali autrefois : profiter de la lutte contre le terrorisme pour asseoir son pouvoir et revenir sur les acquis démocratiques.
Cette tentative démagogique de Moncef Marzouki n’a eu aucun écho auprès des Tunisiens, à l’exception de son caniche et ancien scribouillard de Sakhr el-Matéri, Tarek kahlaoui. Ce dernier a embrayé en criant au retour de la « dictature » et en appelant au respect des droits des terroristes !
Nebil Ben Yahmed
Vidéo de Moncef Marzouki:
L’ex Tartour national a par la suite déclaré : « Je veux d’abord rappeler que la première action terroriste en Tunisie a été en 2006, à l’époque du déchu, et que les causes de cette action étaient profondes et ancrées dans la société, à savoir la corruption, l’ignorance et l’éradication des forces islamistes modérées ». Volontairement, cet imposteur a occulté la plus grande opération terroriste qui a visé la Tunisie en avril 2002. C’était l’attaque d’Al-Qaïda contre la synagogue de Djerba qui avait fait 19 morts, tous des touristes allemands. Il a aussi occulté les attentats du 3 août 1987, à l’époque de Bourguiba, contre des hôtels à Sousse et à Monastir et dont les auteurs étaient ses amis d’Ennahdha, plus exactement Hammadi Jebali.
Dans un élan auto-glorificateur, le mercenaire No1 du Qatar a affirmé que « de toute son histoire, jamais l’armée tunisienne n’avait connu un soutien matériel aussi important que durant les trois années de la troïka. Les forces de l’ordre aussi. C’est pendant la période de la troïka qu’a été lancée une stratégie de lutte contre le terrorisme. Le gouvernement actuel doit continuer dans cette voie… ».
Bien au contraire, c’est pendant la présidence illégitime de Marzouki, qui restera dans l’histoire comme la période la plus sombre et la plus décadente que la Tunisie n’a jamais connue, que le terrorisme a prospéré, que le djihadisme s’est métastasé et que le plus grand nombre de militaires et de gendarmes ont été massacrés. Est-il besoin de rappeler que c’est durant cette époque sombre que Rached Ghannouchi et Moncef Marzouki ont lâchement exécuté les ordres du Qatar en laissant partir les jeunes Tunisiens en Syrie ? Est-il besoin de rappeler à ce traître que c’est pendant sa présidence usurpée que les salafistes sont sortis de leur tanière pour intimider les universitaires et les artistes, et dominer les rues ? Est-il besoin de rappeler à ce mégalomane que c’est à la même époque que des prêcheurs orientaux d’un autre âge ont été invité en Tunisie pour enseigner à son peuple le « vrai islam » ? Est-il besoin de lui rappeler que c’est lui qui a vidé les prisons tunisiennes de ses criminels et terroristes ? Et bien d’autres crimes encore pour lesquels il devrait être jugé plutôt que de bénéficier d’une retraite de 28000 dinars, alors que le peuple crève de faim.
Ce mercenaire qui tente en vain de porter le costume de Mandela a terminé son discours en disant que « Notre victoire sur le terrorisme doit être sécuritaire, militaire, politique, culturel et surtout morale. Je veux dire par là que la lutte contre le terrorisme ne doit en aucune manière être l’occasion pour porter atteinte aux droits de l’homme et aux libertés individuelles et collectives. On peut lutter contre le terrorisme en respectant les droits de l’homme… ».
Par cette démagogie bien huilée, le mercenaire No1 du Qatar a voulu répondre à la déclaration du président Béji Caïd Essebsi, qui a promis que « la guerre contre ces terroristes sera impitoyable jusqu’à leur éradication totale ». Rejeté par les électeurs Tunisiens comme un vulgaire mercenaire du Qatar et des Etats-Unis, et comme un esclave des Frères musulmans, Marzouki tente ainsi de se parer du déguisement des droits de l’homme pour montrer sa différence avec l’actuel président démocratiquement élu, qui pourrai selon lui, faire comme Ben Ali autrefois : profiter de la lutte contre le terrorisme pour asseoir son pouvoir et revenir sur les acquis démocratiques.
Cette tentative démagogique de Moncef Marzouki n’a eu aucun écho auprès des Tunisiens, à l’exception de son caniche et ancien scribouillard de Sakhr el-Matéri, Tarek kahlaoui. Ce dernier a embrayé en criant au retour de la « dictature » et en appelant au respect des droits des terroristes !
Nebil Ben Yahmed
Vidéo de Moncef Marzouki: