A gauche, Taoufik Baccar, l'ex Gouverneur de la Banque centrale qui a contribué à l’essor économique de la Tunisie; à droite, Chedly Ayari, l'actuel Gouverneur de la BCT qui a précipité la faillite économique du pays.
L'annonce de la création du « Centre de Prospective et d'Etudes sur le Développement » a suscité un grand enthousiasme en Tunisie et à l'étranger. Cela nous réconforte mais rend nos responsabilités plus lourdes à un moment où il faut redonner espoir à ce pays perdu.
Le positionnement que nous avons choisi pour ce centre y est certainement pour quelque chose. Nous avons parmi les membres du groupe des personnes dont la compétence est reconnue de tous en matière de fiscalité, de finances publiques, de politique de change et de mobilisation de capitaux extérieurs, de supervision et de législation bancaire, de bourse, d'emploi de formation et d'insertion professionnelle, ainsi que des universitaires et des experts de renommée internationale.
Ils ne sont pas les seuls, c'est pourquoi nous laisserons la porte ouverte aux compétences qui veulent s'associer à cette initiative. Nous tenons à renforcer la présence des jeunes car nous considérons qu'une des missions de ce centre est de faire le passage du témoin et de donner la chance aux futurs responsables de notre pays d'intégrer les expériences accumulées des décennies durant avec ce qu'elles comportent comme succès, défaillances et enseignements.
Nous tenons également à renforcer la présence de professionnels et d'hommes d'affaires qui s'intéressent à l'avenir économique du pays. Je dois signaler que l'homme d'affaire Ayachi Ajroudi m'a vivement encouragé à lancer cette initiative et est décidé à la soutenir et à y participer. D'autres hommes d'affaires s'intéressent également à cette initiative et je les remercie.
Nous sommes décidés à agir vite et à concrétiser rapidement cette initiative. Une première réunion de contact aura lieu dans les prochains jours. Pour le support, nous avons choisi une association déjà existante dont nous changerons simplement le mandat, la dénomination et les membres. Comme je l'ai dit, nous démarrerons avec une première liste mais le centre restera ouvert à toutes les compétences qui veulent du bien à ce pays et Dieu merci, ils sont nombreux.
Taoufik Baccar
Le positionnement que nous avons choisi pour ce centre y est certainement pour quelque chose. Nous avons parmi les membres du groupe des personnes dont la compétence est reconnue de tous en matière de fiscalité, de finances publiques, de politique de change et de mobilisation de capitaux extérieurs, de supervision et de législation bancaire, de bourse, d'emploi de formation et d'insertion professionnelle, ainsi que des universitaires et des experts de renommée internationale.
Ils ne sont pas les seuls, c'est pourquoi nous laisserons la porte ouverte aux compétences qui veulent s'associer à cette initiative. Nous tenons à renforcer la présence des jeunes car nous considérons qu'une des missions de ce centre est de faire le passage du témoin et de donner la chance aux futurs responsables de notre pays d'intégrer les expériences accumulées des décennies durant avec ce qu'elles comportent comme succès, défaillances et enseignements.
Nous tenons également à renforcer la présence de professionnels et d'hommes d'affaires qui s'intéressent à l'avenir économique du pays. Je dois signaler que l'homme d'affaire Ayachi Ajroudi m'a vivement encouragé à lancer cette initiative et est décidé à la soutenir et à y participer. D'autres hommes d'affaires s'intéressent également à cette initiative et je les remercie.
Nous sommes décidés à agir vite et à concrétiser rapidement cette initiative. Une première réunion de contact aura lieu dans les prochains jours. Pour le support, nous avons choisi une association déjà existante dont nous changerons simplement le mandat, la dénomination et les membres. Comme je l'ai dit, nous démarrerons avec une première liste mais le centre restera ouvert à toutes les compétences qui veulent du bien à ce pays et Dieu merci, ils sont nombreux.
Taoufik Baccar