Depuis quelques jours, le nom de René Trabelsi circule comme éventuel ministre du Tourisme dans le gouvernement de Mehdi Jomaa. Parce que cette nouvelle a suscité quelques réactions ignobles et abjectes, je tiens à dire ici que ce tunisien, que je n’ai jamais rencontré dans ma vie, est bien plus honorable et patriote que certains tunisiens qui se disent « pure souche » parce qu’ils sont purement musulmans.
Professionnel du tourisme, je sais que René Trabelsi a rendu à son pays d’énormes services au moment même où certains opposants et droit-de-l’hommistes appelaient les européens à ne pas se rendre en Tunisie. Qu’il soit juif ne retire rien à sa compétence et à son attachement profond et charnel à sa patrie. Bien au contraire, je connais des juifs tunisiens qui pleurent encore la décadence de la Tunisie depuis la « révolution » bouazizienne, à l’inverse des cybers-collabos, de certains Frères musulmans et de leurs mercenaires du CPR et d’Ettakatol, qui s’en réjouissent.
De même que je déteste Bernard Henri Lévy, pas parce qu’il est juif mais parce qu’il est belliciste et profondément anti-arabe, j’ai beaucoup d’estime pour les juifs tunisiens, notamment René Trabelsi, dont le patriotisme n’est mis en doute que par les ignorants, les obscurantistes et les antisémites.
Je rappelle qu’après la Révolution nationaliste et au début de l’indépendance, il y a eu deux ministres de tradition juive : Albert Bessis, Bâtonnier de l’ordre des avocats et député jusqu’en 1969, et André Barouch, résistant anticolonialiste, comme le fut d’ailleurs Georges Adda.
Si la nouvelle concernant René Trabelsi se confirme, malgré les manœuvres de Majlis Al-Choura qui s’y oppose, ce serait une bonne chose pour l’économie tunisienne qui dépend structurellement du secteur touristique, en berne depuis la « révolution » bouazizienne qui a ruiné un pays moderne et prospère.
C’est sur ses propres enfants, qu’ils soient juifs, chrétiens, bouddhistes ou musulmans, que la Tunisie peut compter pour retrouver sa prospérité d’antan, et non pas sur les bédouins et les esclavagistes du Qatar. Si René Trabelsi est ministre du Tourisme, mes compatriotes échapperont peut-être à l’un des buts de la « révolution » : خبز وماء وبن علي لا
Mezri Haddad, sur sa page facebook, le 15 janvier 2014.
Professionnel du tourisme, je sais que René Trabelsi a rendu à son pays d’énormes services au moment même où certains opposants et droit-de-l’hommistes appelaient les européens à ne pas se rendre en Tunisie. Qu’il soit juif ne retire rien à sa compétence et à son attachement profond et charnel à sa patrie. Bien au contraire, je connais des juifs tunisiens qui pleurent encore la décadence de la Tunisie depuis la « révolution » bouazizienne, à l’inverse des cybers-collabos, de certains Frères musulmans et de leurs mercenaires du CPR et d’Ettakatol, qui s’en réjouissent.
De même que je déteste Bernard Henri Lévy, pas parce qu’il est juif mais parce qu’il est belliciste et profondément anti-arabe, j’ai beaucoup d’estime pour les juifs tunisiens, notamment René Trabelsi, dont le patriotisme n’est mis en doute que par les ignorants, les obscurantistes et les antisémites.
Je rappelle qu’après la Révolution nationaliste et au début de l’indépendance, il y a eu deux ministres de tradition juive : Albert Bessis, Bâtonnier de l’ordre des avocats et député jusqu’en 1969, et André Barouch, résistant anticolonialiste, comme le fut d’ailleurs Georges Adda.
Si la nouvelle concernant René Trabelsi se confirme, malgré les manœuvres de Majlis Al-Choura qui s’y oppose, ce serait une bonne chose pour l’économie tunisienne qui dépend structurellement du secteur touristique, en berne depuis la « révolution » bouazizienne qui a ruiné un pays moderne et prospère.
C’est sur ses propres enfants, qu’ils soient juifs, chrétiens, bouddhistes ou musulmans, que la Tunisie peut compter pour retrouver sa prospérité d’antan, et non pas sur les bédouins et les esclavagistes du Qatar. Si René Trabelsi est ministre du Tourisme, mes compatriotes échapperont peut-être à l’un des buts de la « révolution » : خبز وماء وبن علي لا
Mezri Haddad, sur sa page facebook, le 15 janvier 2014.