C’est la résistance héroïque de la Syrie contre l’invasion islamo-atlantiste qui a changé la donne aux pays dits du « printemps arabe ». Si celui-ci a été du début à la fin écrit et réalisé par une administration américaine complètement phagocytée par l’internationale islamiste des Frères musulmans, le dernier soulèvement égyptien et, depuis deux jours, tunisien et libyen, traduisent le réveil nationaliste des peuples que certaines capitales occidentales ont voulu tuer par le virus islamiste.
Dans la nouvelle page d’histoire que les peuples sont entrain d’écrire, l’Amérique de Barack Hussein Obama n’y est absolument pour rien. Bien au contraire, impuissante, la première puissance mondiale assiste à l’écroulement de sa stratégie destructrice du monde arabo-islamique. Barack Hussein ne sait plus comment s’en sortir aux moindres frais. En lâchant ses pions, les deux Hamad du Qatar, qui régentaient et finançaient l’internationale islamiste y compris Al-Qaïda, il pensait échapper aux accusations graves que lui portent certains sénateurs républicains. Il ne croyait pas que le petit séisme au Qatar provoquerait un « cataclysme » en Egypte. Encore moins qu’il s’étendrait à la Tunisie.
Rached Ghannouchi a beau jouer son avant-dernière carte du « complot sioniste » (TV Al-Moutawassat, ce 28 juillet), les Tunisiens connaissent ses relations avec l’AIPAC et ses consultations permanentes avec Jacob Walles, celui qui n’est pas ambassadeur mais Proconsul, avec Joseph Lieberman et John McCain, les destructeurs de l’Irak et de la Libye qui devraient être jugés pour crimes contre l’Humanité. Les Américains n’ont pas lâché Ennahda et leur fameux « laboratoire du printemps arabe », mais ils jouent désormais la neutralité, et c’est déjà beaucoup. Rached Ghannouchi l’a compris.
D’où la décision qu’il vient de prendre pour jouer sa dernière carte : plonger le pays dans une série d’attentats terroristes et d’assassinats politiques. Celui de la Goulette était un petit teste. Avec la mobilisation des salafistes, des djihadistes et d’Al-Qaïda, la Tunisie va connaître dans les jours qui viennent une vague d’attentats sans précédent. De source fiables, nous avons appris que l’ancien bras droit de Ben Laden, Abdelhakim Belhadj a été aperçu dans un hôtel à Djerba il y a quelques heures.
Dans ce bras de fer qui va se jouer, nous savons que l’armée a fait le choix de soutenir le peuple contre les islamistes et leurs mercenaires du CPR et d’Ettakatol. C'est pour cette raison que l'armée nationale sera la première cible des terroristes islamistes. Le ministère de l’Intérieur reste jusqu’à présent divisé entre républicains et pro-islamistes. Quant aux médias audiovisuels, Nessma TV, Hannibal TV et Wataniya TV, elles semblent avoir choisi leur camp en censurant le vrai printemps tunisien qui se déroule en ce moment dans toutes les régions du pays.Tunisie-Secret.com
Lilia Ben Rejeb
Dans la nouvelle page d’histoire que les peuples sont entrain d’écrire, l’Amérique de Barack Hussein Obama n’y est absolument pour rien. Bien au contraire, impuissante, la première puissance mondiale assiste à l’écroulement de sa stratégie destructrice du monde arabo-islamique. Barack Hussein ne sait plus comment s’en sortir aux moindres frais. En lâchant ses pions, les deux Hamad du Qatar, qui régentaient et finançaient l’internationale islamiste y compris Al-Qaïda, il pensait échapper aux accusations graves que lui portent certains sénateurs républicains. Il ne croyait pas que le petit séisme au Qatar provoquerait un « cataclysme » en Egypte. Encore moins qu’il s’étendrait à la Tunisie.
Rached Ghannouchi a beau jouer son avant-dernière carte du « complot sioniste » (TV Al-Moutawassat, ce 28 juillet), les Tunisiens connaissent ses relations avec l’AIPAC et ses consultations permanentes avec Jacob Walles, celui qui n’est pas ambassadeur mais Proconsul, avec Joseph Lieberman et John McCain, les destructeurs de l’Irak et de la Libye qui devraient être jugés pour crimes contre l’Humanité. Les Américains n’ont pas lâché Ennahda et leur fameux « laboratoire du printemps arabe », mais ils jouent désormais la neutralité, et c’est déjà beaucoup. Rached Ghannouchi l’a compris.
D’où la décision qu’il vient de prendre pour jouer sa dernière carte : plonger le pays dans une série d’attentats terroristes et d’assassinats politiques. Celui de la Goulette était un petit teste. Avec la mobilisation des salafistes, des djihadistes et d’Al-Qaïda, la Tunisie va connaître dans les jours qui viennent une vague d’attentats sans précédent. De source fiables, nous avons appris que l’ancien bras droit de Ben Laden, Abdelhakim Belhadj a été aperçu dans un hôtel à Djerba il y a quelques heures.
Dans ce bras de fer qui va se jouer, nous savons que l’armée a fait le choix de soutenir le peuple contre les islamistes et leurs mercenaires du CPR et d’Ettakatol. C'est pour cette raison que l'armée nationale sera la première cible des terroristes islamistes. Le ministère de l’Intérieur reste jusqu’à présent divisé entre républicains et pro-islamistes. Quant aux médias audiovisuels, Nessma TV, Hannibal TV et Wataniya TV, elles semblent avoir choisi leur camp en censurant le vrai printemps tunisien qui se déroule en ce moment dans toutes les régions du pays.Tunisie-Secret.com
Lilia Ben Rejeb