C’est par le cas de l’ancien ministre des Affaires Etrangère, Kamel Morjane, que nous allons commencer une série d’articles sur tous les prisonniers politiques en prison depuis le coup d’Etat du 14 janvier 2011, que le général Rachid Ammar a mené sous les ordres du Pentagone. A savoir : Abdelaziz Ben Dhia, Abdallah Kallel, Ridha Grira, Rafik Haj Kacem, Mohamed Ghariani, Abdelwahab Abdallah, le général Ali Seriati, Mahmoud Bellallouna, Jilani Daboussi…et bien d’autres cas. On appelle d’ailleurs toute personne qui détiendrait des documents ou des témoignages à prendre contact avec nous. Tunisie-Secret est un site d’information libre et citoyenne, ouvert à toutes les bonnes volontés.
Un médiocre qui s’attaque à un diplomate chevronné, un patriote mis à l’index par un renégat
Hier, 8 août 2012, Rafik Bouchlaka, le ministre anglo-qatari des Affaires Etrangères tunisiennes, a tenu une conférence de presse dans laquelle il a annoncé son opération main propre. Première cible de ce ministre charrié par la « révolution du jasmin » qui a fait perdre à la Tunisie son honneur et ses acquis de 55 ans d’indépendance : Kamel Morjane. Ainsi, le gendre de Rached Ghannouchi veut juger le fils de Kantaoui Morjane, l’une des plus grandes figures de la lutte anticoloniale au Sahel. Ainsi, le petit novice qui a fait trois années d’études à l’université Mohamed V de Rabat et qui, contrairement à son CV officiel n’a jamais soutenu de thèse à l’université Westminster de Londres où il n’y a que la trace de son inscription en 2001, veut juger le titulaire d’une maîtrise en droit public de l’université de Tunis, d’un diplôme supérieur de l’Ecole Nationale d’Administration, d’un second diplôme supérieur de l’Institut de Hautes Etudes Internationales de Genève, d’un troisième diplôme supérieur de l’université du Wisconsin, d’un quatrième de l’Académie de Droit International de La Haye. Ainsi, l’ancien salarié de Hamad et Mozza veut juger l’ancien haut fonctionnaire des Nations-Unies.
C’est en 1977 que Kamel Morjane a en effet intégré le Haut Commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR). En 2005, son nom faisait partie des éventuels successeurs à Kofi Annan. La même année, sous l’insistance de Ben Ali, il a finalement accepté le poste de ministre de la Défense. Selon des sources onusiennes, le salaire de Kamel Morjane au sein du HCR était de 8500 dollars par mois, indemnités de risque comprises, c’est-à-dire 17000 dinars tunisiens. En tant que ministre de la Défense, son salaire était de 3500 dinars ! C’était le salaire d’un ministre à l’époque de Ben Ali. Aujourd’hui, les ministres gagnent 6200 dinars et les membres de l’Assemblée constituante, 5900 dinars minimum. C’est pour dire que l’argent n’intéressait pas beaucoup Kamel Morjane, contrairement à Bouchlaka, à son beau père et à la secte islamiste en général, qui ont fait de l’argent leur véritable religion. Je vous laisse deviner le salaire de Bouchlaka lorsqu’il était cadre au sein d’Al-Jazzera et les dons que recevait Rached Ghannouchi d’Arabie Saoudite, du Qatar et de l’Iran, qu’il trahit aujourd’hui.
Ben Ali avait tout à fait le droit à un passeport diplomatique
Kamel Morjane devrait être poursuivi pour corruption et détournement d’argent public. On rappellera qu’il a déjà été entendu par un juge d’instruction pour ces mêmes « délits », à la suite de la plainte déposée par 25 avocats de l’extrême gauche et de l’extrême droite islamiste, dont la moitié sont des corrompus notoires. Cette plainte qui a été discrètement fabriquée par notamment Abderrazek Kilani, Chokri Belaïd et Radhia Nasraoui, est toujours en instruction. Une épée de Damoclès sur la tête d’un homme qui constitue réellement un danger pour les islamistes et qui peut rassembler tous les patriotes qui souffrent de voir leur pays dégringoler de cette façon inimaginable. On reproche aussi à l’ancien ministre des Affaires Etrangères d’avoir donné son autorisation pour émettre des passeports diplomatiques pour Ben Ali, son épouse et son fils. Du point de vue juridique et administratif, et en tant qu’ancien chef d’Etat, Ben Ali avait tout à fait le droit à un passeport diplomatique, d’autant plus qu’il ne faisait à l’époque l’objet d’aucune poursuite judiciaire. Sous instruction du Premier ministre, Kamel Morjane avait par conséquent agit en toute légalité.
Le début de l’Inquisition islamiste
Il s’agit donc de procès politiques par lesquels les nouveaux résidents généraux de la Tunisie post-révolutionnaire cherchent à intimider les patriotes susceptibles de contrarier leur visée totalitaire et théocratique lors des prochaines élections, si elles ont lieu ! C’est le commencement de l’ère inquisitoriale des islamistes. On a fait la même chose avec Béji Caïd Essebsi, dont le mouvement prend des proportions très inquiétantes pour les islamo-wahhabites et leurs deux alliés qui leur servent de vitrine « progressiste » et « socialiste » : Ettakatol de Mustapha Ben Jafar et le CPR de Moncef Marzouki. Comme l’a déclaré l’indomptable Taoufik Ben Brik sur ShemsFM, « Moncef Marzouki et Mustapha Ben Jafar sortent du manteau de Rached Ghannouchi. Ils n’existent pas sans Ennahda ».
Les actuels maîtres de la Tunisie imposés par l'étranger, doivent être jugé pour Haute Trahison
On va le dire cette fois-ci de la façon la plus claire et la plus directe : si certains anciens responsables du régime méritent d’être jugé pour des délits supposés –encore que la Justice doit-être indépendante, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui-, et si Ben Ali lui-même a le droit à un procès équitable, les actuels maîtres de la Tunisie que les Américains et les Qataris ont imposé au peuple tunisien, doivent être jugé et pendus pour Haute Trahison. C’est le cas du putchiste Rachid Ammar, pas seulement pour avoir trahi sa patrie mais surtout pour avoir mené la répression sanguinaire dès décembre à Kasserine et pour avoir été le donneur d’ordre aux snipers. C’est le cas du mercenaire Rached Ghannouchi et des terroristes Hammadi Jebali, Ali Larayedh et Moncef Ben Salem.
C’est aussi le cas de la maquilleuse en chef Moncef Marzouki et de la stripteaseuse, Mustapha Ben Jafar.
Un médiocre qui s’attaque à un diplomate chevronné, un patriote mis à l’index par un renégat
Hier, 8 août 2012, Rafik Bouchlaka, le ministre anglo-qatari des Affaires Etrangères tunisiennes, a tenu une conférence de presse dans laquelle il a annoncé son opération main propre. Première cible de ce ministre charrié par la « révolution du jasmin » qui a fait perdre à la Tunisie son honneur et ses acquis de 55 ans d’indépendance : Kamel Morjane. Ainsi, le gendre de Rached Ghannouchi veut juger le fils de Kantaoui Morjane, l’une des plus grandes figures de la lutte anticoloniale au Sahel. Ainsi, le petit novice qui a fait trois années d’études à l’université Mohamed V de Rabat et qui, contrairement à son CV officiel n’a jamais soutenu de thèse à l’université Westminster de Londres où il n’y a que la trace de son inscription en 2001, veut juger le titulaire d’une maîtrise en droit public de l’université de Tunis, d’un diplôme supérieur de l’Ecole Nationale d’Administration, d’un second diplôme supérieur de l’Institut de Hautes Etudes Internationales de Genève, d’un troisième diplôme supérieur de l’université du Wisconsin, d’un quatrième de l’Académie de Droit International de La Haye. Ainsi, l’ancien salarié de Hamad et Mozza veut juger l’ancien haut fonctionnaire des Nations-Unies.
C’est en 1977 que Kamel Morjane a en effet intégré le Haut Commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR). En 2005, son nom faisait partie des éventuels successeurs à Kofi Annan. La même année, sous l’insistance de Ben Ali, il a finalement accepté le poste de ministre de la Défense. Selon des sources onusiennes, le salaire de Kamel Morjane au sein du HCR était de 8500 dollars par mois, indemnités de risque comprises, c’est-à-dire 17000 dinars tunisiens. En tant que ministre de la Défense, son salaire était de 3500 dinars ! C’était le salaire d’un ministre à l’époque de Ben Ali. Aujourd’hui, les ministres gagnent 6200 dinars et les membres de l’Assemblée constituante, 5900 dinars minimum. C’est pour dire que l’argent n’intéressait pas beaucoup Kamel Morjane, contrairement à Bouchlaka, à son beau père et à la secte islamiste en général, qui ont fait de l’argent leur véritable religion. Je vous laisse deviner le salaire de Bouchlaka lorsqu’il était cadre au sein d’Al-Jazzera et les dons que recevait Rached Ghannouchi d’Arabie Saoudite, du Qatar et de l’Iran, qu’il trahit aujourd’hui.
Ben Ali avait tout à fait le droit à un passeport diplomatique
Kamel Morjane devrait être poursuivi pour corruption et détournement d’argent public. On rappellera qu’il a déjà été entendu par un juge d’instruction pour ces mêmes « délits », à la suite de la plainte déposée par 25 avocats de l’extrême gauche et de l’extrême droite islamiste, dont la moitié sont des corrompus notoires. Cette plainte qui a été discrètement fabriquée par notamment Abderrazek Kilani, Chokri Belaïd et Radhia Nasraoui, est toujours en instruction. Une épée de Damoclès sur la tête d’un homme qui constitue réellement un danger pour les islamistes et qui peut rassembler tous les patriotes qui souffrent de voir leur pays dégringoler de cette façon inimaginable. On reproche aussi à l’ancien ministre des Affaires Etrangères d’avoir donné son autorisation pour émettre des passeports diplomatiques pour Ben Ali, son épouse et son fils. Du point de vue juridique et administratif, et en tant qu’ancien chef d’Etat, Ben Ali avait tout à fait le droit à un passeport diplomatique, d’autant plus qu’il ne faisait à l’époque l’objet d’aucune poursuite judiciaire. Sous instruction du Premier ministre, Kamel Morjane avait par conséquent agit en toute légalité.
Le début de l’Inquisition islamiste
Il s’agit donc de procès politiques par lesquels les nouveaux résidents généraux de la Tunisie post-révolutionnaire cherchent à intimider les patriotes susceptibles de contrarier leur visée totalitaire et théocratique lors des prochaines élections, si elles ont lieu ! C’est le commencement de l’ère inquisitoriale des islamistes. On a fait la même chose avec Béji Caïd Essebsi, dont le mouvement prend des proportions très inquiétantes pour les islamo-wahhabites et leurs deux alliés qui leur servent de vitrine « progressiste » et « socialiste » : Ettakatol de Mustapha Ben Jafar et le CPR de Moncef Marzouki. Comme l’a déclaré l’indomptable Taoufik Ben Brik sur ShemsFM, « Moncef Marzouki et Mustapha Ben Jafar sortent du manteau de Rached Ghannouchi. Ils n’existent pas sans Ennahda ».
Les actuels maîtres de la Tunisie imposés par l'étranger, doivent être jugé pour Haute Trahison
On va le dire cette fois-ci de la façon la plus claire et la plus directe : si certains anciens responsables du régime méritent d’être jugé pour des délits supposés –encore que la Justice doit-être indépendante, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui-, et si Ben Ali lui-même a le droit à un procès équitable, les actuels maîtres de la Tunisie que les Américains et les Qataris ont imposé au peuple tunisien, doivent être jugé et pendus pour Haute Trahison. C’est le cas du putchiste Rachid Ammar, pas seulement pour avoir trahi sa patrie mais surtout pour avoir mené la répression sanguinaire dès décembre à Kasserine et pour avoir été le donneur d’ordre aux snipers. C’est le cas du mercenaire Rached Ghannouchi et des terroristes Hammadi Jebali, Ali Larayedh et Moncef Ben Salem.
C’est aussi le cas de la maquilleuse en chef Moncef Marzouki et de la stripteaseuse, Mustapha Ben Jafar.